Michael Jackson : son biographe prouve qu’un des accusateurs a menti

Le débat autour de la diffusion du documentaire polémique « Leaving Neverland » continue d’agiter les consciences. Si de nombreux observateurs pour et contre Michael Jackson se sont écharpés sur le net et notamment Twitter, les principaux acteurs concernés par le film ont également eu leur mot à dire.

Si la famille a qualifié ce documentaire de tentative de buzz, Dan Reed, le réalisateur et les deux accusateurs, Wade Robson et James Safechuck ont toujours assuré avoir dit la vérité. Aujourd’hui âgés respectivement de 36 et 41 ans, ces deux hommes ont accepté de revenir sur les terribles sévices qu’ils ont subi à cause de l’ancien roi de la pop, entre 1988 et 1992. Entre agressions sexuelles et agressions physiques, les deux hommes, mineurs au moment des faits, ont décrit l’enfer qu’ils ont pu vivre des années durant, notamment dans la gare du ranch Neverland.

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Une gare qui pose quelques soucis

Problème, le biographe officiel de Michael Jackson est récemment monté au créneau afin de détruire l’argumentaire de l’accusation. Permis de construire à la main, ce dernier a ainsi prouvé que la gare en question, n’a été construite que quelques années après 1992. Résultat, ces accusations pourraient être infondées. Une explication à laquelle le réalisateur Dan Reed a répondu, en admettant que cet élément pourrait être vrai, mais ne remettrait en rien en cause, le témoignage de James Safechuck notamment.

Un psychologue valide les propos de Dan Reed

Selon Reed, des photos de Safechuck, victime principale de sévices au sein de cette fameuse gare, il existerait des photos de l’accusateur, prostré devant l’édifice, preuve qu’il a bel et bien connu l’époque de cette fameuse gare. Résultat, il se pourrait que ce dernier se soit emmêlé les pinceaux au niveau des dates. Un constat partagé par Vadiv Lisak, psychologue spécialisé dans les violences sexuelles, réalisées par des personnes connues des victimes. Selon lui, celles-ci ont tendance à avoir quelques difficultés à se rappeler avec précision de certains éléments, allant même jusqu’à mélanger les événements entre eux. Le rendu, bien qu’incohérent, reste toutefois véridique.

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