Les USA ont, il y a quelques jours, sur fond de loyauté avec le grand ami israélien, durci le ton avec l’Iran. Trump annonçait de nouvelles sanctions économiques à l’encontre de la république islamique. Seulement, l’Iran répliquait ne pas être prête à accepter ces sanctions et le secrétaire d’Etat américain annulait un voyage sur le front du changement climatique au Groenland.
Un durcissement de tons inquiétants…
Ce lundi, rapporte la presse internationale, l’Iran disait ne plus vouloir respecter certaines parties de l’accord de 2015 sur son démantèlement nucléaire, alarmant, selon les média, les responsables européens qui espéraient préserver l’accord, destiné à garantir l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire. Un revirement de la République islamique qui intervenait après que les USA qui s’était déjà retiré de l’Accord aient annoncé un renforcement de sanctions économique à l’encontre de l’Iran, disant vouloir obtenir par la pression ce que des années de discussions n’avaient pu obtenir. Des déclarations de l’Iran qui pourtant auraient alarmé la Maison Blanche au point, rapporte la presse américaine de rappelé dare-dare le Secrétaire d’Etat, Mike Pompéo déjà en tournée européenne pour discuter du cas iranien.
Selon la presse américaine, Pompeo avait dû reporter sa visite à cause de « la nécessité pour le secrétaire d’être à Washington », selon le porte-parole du département d’Etat américain Morgan Ortagus. Et si L’administration Trump, n’aurait fourni aucuns détails sur la nouvelle menace iranienne, des sources journalistiques révélaient que de nouveaux renseignements concernant le corps des gardes de la révolution islamique iranien et ses relations avec certaines des milices arabes chiites irakiennes auraient soulevé des préoccupations à la Maison Blanche.
Laisser un commentaire