Jay-Z adoubé il y a peu, premier rappeur milliardaire et patron de Roc Nation son label musical, s’associait ce Mardi à New York avec Meek Mill, un autre rappeur qui comme lui venait du ghetto, pour la mise sur les fonts baptismaux d’un nouveau label musical, Dream Chasers. Une manière pour le sémillant show-business man de « passer au suivant » en faisant profiter de son carnet d’adresse et de son expérience, une génération plus jeune.
Quand Jay-Z dit vouloir préparer la relève
Au cours de la cérémonie de création et de signature du partenariat à New York , Jay-Z dont le label Roc Nation aujourd’hui vieux de 11 ans avait également eu Meek Mill comme ‘’poulain’’ déclarait ; «Tout ce qu’il (Meek Mill) a fait jusqu’à présent montre qu’il est prêt à diriger la prochaine génération ». Et en l’occurrence ce serait Mill qui aurait la lourde charge de présider aux destinées de Dream Chasers, avec la supervision et la formation d’un personnel qualifié pour signer et développer des artistes, développer la stratégie créative et le marketing, avec en vision l’ouverture d’un studio d’enregistrement à l’usage exclusif des artistes du label. Mais pas seulement, Car selon Jay-Z ce partenariat irait « bien au-delà de la signature d’artistes et du fait d’avoir des disques en vogue ».
Selon la presse américaine, Jay-Z, Mill Meek et d’autres artistes, auraient uni leurs forces au début de l’année pour former une coalition appelée à militer pour une réformer les lois sur la probation et la libération conditionnelle dans les États. Avec Mill devenu un symbole pour les militants de la réforme de la justice pénale après qu’il ait passé des mois en prison pour une violation mineure de conditionnelle avant qu’un tribunal n’ordonne sa libération. Mercredi, une cour d’appel de Pennsylvanie a annulé la déclaration de culpabilité de Mill et accordé au rappeur un nouveau procès en raison de nouvelles preuves de corruption présumée de la police.
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