Espagne : accusés de viol en réunion, l’avocat des jeunes pointe du doigt Tinder

Après l’interpellation mercredi dernier, de cinq jeunes Français âgé de 18 à 19 ans en Espagne, accusés de viol en réunion par une jeune Norvégienne âgée de 20 ans dans la station balnéaire de Benidorm, leur avocat pointe du doigt l’application de rencontre Tinder. En effet, l’avocat de l’un des accusés Me Frédéric David a confié à un média que le supposé viol s’était déroulé dans un contexte très clair et qui ne peut laisser aucun doute concernant l’application Tinder qui a été utilisé pour la rencontre entre la présumée victime et les accusés.

Un rapport sexuel consenti

Me Frédéric David avocat de l’un des français accusés d’agression sur la norvégienne de 20 ans, a affirmé que l’incident s’est produit dans un contexte particulier. Ainsi, il a fait savoir que le présumé viol collectif a eu lieu dans un cadre où il y avait beaucoup de boissons alcoolisées qui circulaient. Me Frédéric David a également souligné le cadre festif et juvénile qui caractérise la station balnéaire de Benidorm de même que le « caractère très explicite de l’application de rencontre, Tinder » qui a été utilisée par la plaignante et ses présumés agresseurs.

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Notons que Me Frédéric David a assuré que son client admet avoir eu un rapport sexuel avec la présumée victime, mais précise que l’acte a été commis avec le consentement de celle-ci et n’était pas collectif. Selon un communiqué rendu publique dans la nuit d’hier à aujourd’hui vendredi, une juge en charge de l’affaire a remis en liberté deux des cinq jeunes français accusés de viol collectif. Quant aux trois autres, ils sont enfermés provisoirement.

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