Après le vote, le contrôle en inconstitutionnalité et la promulgation de la loi d’amnistie, les personnes impliquées dans les violences survenues au lendemain des législatives du 28 avril dernier peuvent jouir de leur liberté. L’application de la loi d’amnistie est rentrée en application.
Car, l’acte majeur pour la mise en œuvre effective de cette loi promulguée par le président de la République a été pose ce vendredi. Le procureur de la République Mario Métonou a signé l’ordre de mise en liberté des personnes impliquées dans les violences électorales.
Au total, il s’agit de 63 personnes qui doivent pouvoir être libres de leurs mouvements dans les heures à venir. Parmi ces personnes il y a Philippe Aboumon, un proche de l’ancien président Boni Yayi et Habib Ahandessi.
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