Le frère de Pablo Escobar lance un smartphone pour concurrencer Apple

Roberto Escobar, le frère de Pablo Escobar lance un smartphone pliable. L’idée n’est pas nouvelle, même si elle est novatrice. Le smartphone pliable, cela s’est déjà vu. Notamment avec Royole et son FlexPai suivi de Samsung et son Galaxy Fold. Mais la particularité de cette grande innovation est que son promoteur clame ouvertement son intention de concurrencer les plus grands du domaine avec un prix révolutionnaire.

Roberto Escobar est le frère de Pablo Escobar, le géant narcotrafiquant colombien tué en décembre 1993. Mais il est aussi le dirigeant de la Escobar Inc, société de holding qui lance l’Escobar Fold 1, un smartphone à écran pliable qui serait incassable selon son promoteur. « Mon téléphone ne peut pas se casser, parce que je n’ai pas eu à faire un écran de verre comme Samsung. Notre écran est fait d’un type spécial de plastique, et nous avons toujours la meilleure résolution. Notre plastique spécial est très difficile à casser », explique Roberto Escobar.  

Apple dans le viseur d’Escobar

Roberto Escobar est clair et plus que radical : son smartphone pliable est sur le marché pour concurrencer le géant Apple ! Roberto Escobar l’a dit et répété : il est arrivé dans le milieu de la téléphonie mobile pour concurrencer le créateur des Iphone. Et son Escobar Fold 1 participe de cette dynamique d’éclipser le géant américain. : « J’ai dit à beaucoup de gens que je pouvais battre Apple et je le ferai. (…) Mon objectif est de battre Apple et je vais le faire moi-même, comme je l’ai toujours fait », a déclaré l’homme d’affaire colombien.

Un prix défiant toute concurrence

La cerise sur le gâteau est le prix de la Escobar Fold 1 : 349 dollars ! Un prix qu’il sera difficile de concurrencer. Presqu’une provocation dans ce milieu où les innovations coûtent plutôt cher. A titre de comparaison le Galaxy Fold est à 1449 euros (environ 1600 dollars). Pablo Escobar justifie ce prix en critiquant Apple qui vendrait trop cher ses Iphone aux consommateurs, « des téléphones sans valeur (vendus) aux consommateurs, trop chers »selon lui.