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Attaques de l’Iran : première réaction de Donald Trump

En Irak ce serait environ 5500 forces d’opérations spéciales américaines réparties dans 12 installations différentes, dont 5 au Kurdistan irakien. Des bases utilisées comme base d’entrainements ou comme postes avancés pour des opérations contre des cibles en Syrie. Ce Mardi, le Pentagone annonçait que L’Iran, en ouverture de représailles de l’attaque sur Téhéran le 02 janvier passé, aurait lancé une douzaine sur deux des bases américaines en Irak. Pour Donald Trump, il n’y aurait « jusqu’ici » pas de quoi s’en faire.

« Jusqu’ici tout va bien » !

Les bases touchées seraient celle d’Ain Assad est située dans l’ouest de l’Irak et La base d’Erbil, dans le Kurdistan irakien. La base d’Ain Assad aurait été utilisée comme poste avancée en 2003 durant l’action des USA contre le régime de Saddam Hussein et abriterait environ 1500 forces américaines et de la coalition. Les attaques iraniennes ne sembleraient pas avoir fait grands dégâts. Même si reconnaissait, le porte-parole du Pentagone Jonathan Hoffman, le Pentagone serait encore à « évaluer l’ampleur des  pertes ». Mais le président Trump lui très tôt, ce Mercredi matin déclarait, sur réseau social favori, « jusqu’ici tout va bien » et rassurait sur la puissance des USA, « Nous avons de loin l’armée la plus puissante et la mieux équipée du monde! ».

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Un soulagement du président américain que semblait conforté ; une déclaration du ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, qui par un tweet lui aussi ce même jour avait déclaré ; « Nous ne cherchons pas l’escalade ou la guerre, mais nous nous défendrons contre toute agression ».

Expliquant en outre que les attaques de mardi entraient dans le cadre « des mesures proportionnées de légitime défense en vertu de l’article 51 de la Charte des Nations Unies » que « L’Iran a pris et conclu » en réaction aux « attaques lâches et armées contre nos citoyens et hauts fonctionnaires ont été lancées ». Mais si Mohammad Javad Zarif, en mettant un accent particulier sur la légitimité de leurs attaques, semblaient vouloir laisser entendre que  les frappes de ce Mardi, mettaient fin aux représailles attendues par L’Iran ; rien n’était moins sûr.

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