Depuis plusieurs jours, de nombreuses questions entourant le départ précipité de Carlos Ghosn se posent. En effet, l’ancien magnat de l’immobilier a réussi à faire faux bond à la justice nippone, quittant Tokyo et son assignation à résidence, en direction du Liban, d’où il est originaire. Une fuite organisée d’une main de maître, qui ne cesse d’interloquer.
Mais comment Ghosn a-t-il réussi à quitter le Japon, sans se faire attraper ? De plus en plus d’informations fuitent au sujet du départ de ce dernier, alors qu’il devait être jugé du côté de Tokyo, en 2020. Si l’ancien patron de l’alliance automobile Renault-Nissan a reconnu être arrivé à Beyrouth et qu’il souhaite y organiser sa défense, son trajet lui, laisse pantois. Passant par la Turquie, il a finalement rejoint le Liban, pays dont il est originaire et est relativement apprécié, sans rencontrer le moindre obstacle.
Carlos Ghosn, une fuite version Hollywood
Les autorités nippones elles, ne comprennent pas, aucune trace de son départ n’ayant été découvertes. De fait, il apparaît clair que Ghosn ait pu bénéficier d’une aide extérieure. Selon la chaîne libanaise MTV, son escapade aurait d’ailleurs été le fruit d’un plan absolument incroyable, monté et préparé depuis des semaines. En effet, celui-ci se serait caché à l’intérieur d’une boîte pour instrument de musique.
De nombreuses questions se posent encore
Dans les faits, Ghosn aurait invité un groupe de musique à venir jouer chez lui. Toutefois, ce groupe aurait en fait été composé de paramilitaires Libanais qui l’auraient ensuite caché dans une malle pour instrument. Caché, il aurait ensuite été transporté dans un petit aéroport local, d’où il serait finalement sorti de son étui. Reste maintenant à définir si cette information est véridique et surtout, comment Ghosn a pu être mis au courant qu’une telle opération allait se dérouler, lui qui n’avait pratiquement pas le droit de communiquer avec le monde extérieur.
Ancien magnat de l’immobilier ?????????????????????????Vous écrivez beaucoup, mais vous lisez peu……………………
Awful………….
Impossibilité de complicité interne car le Japonais a un comportement d’initiative collective. D’autre part, pour détourner l’attention de la surveillance il a fallut un délai d’observation pour définir le timing du processus de fuite. Donc ce ne sont pas des troubadours ni des libanais mais bien des services occidentaux ou israéliens en l’espèce pour se faire.
Et la surveillance a été conviée à la réception avec un breuvage adéquat pour un endormissement collectif.
il a bien fait de se barrer…. en plus il a tuer personne et il a sauvé Nissan de la faillite…. alors s’est bizarre la façon de le remercier…
Ça pue des complicités internes au sein même des services spéciaux japonais. C’est trop gros pour être vrai.
C’est bien, les conditions de détention au Japon ne sont pas bonnes.