Sale temps pour le procureur de la République près le tribunal de Kandi et son substitut. Une affaire de libération de présumé terroriste les emporte. Gardés à vue à la brigade criminelle de Cotonou, ils ont été mis aux arrêts Vendredi 22 mai 2020, avant d’être rejoints par le directeur départemental de la police républicaine de l’Alibori et le directeur des services de liaisons.
Pour avoir géré un dossier de terrorisme, le procureur de la République près le tribunal de Kandi et son substitut écroués à la prison civile de Missérété. En effet, l’officier de police judiciaire du commissariat de Kandi a transmis un dossier de terrorisme au procureur de kandi. A son tour, il l’a confié à son substitut. Après audition du présumé terroriste, le substitut juge le dossier incomplet et ordonne la libération provisoire du mis en cause.
S’en est suivi la réaction de la police Républicaine de Kandi qui a alerté l’hiérarchie. L’information remonte au procureur spécial près la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme, Ulrich Gilbert Togbonou qui à son tour huile la procédure. Interpellé, le substitut du procureur de Kandi fut mis aux arrêts puis après le procureur lui-même. Ce dernier a déclaré avoir confié le dossier à son substitut en raison de son état de santé fragile et dégradant.
Il leur est reproché, les faits de corruption et de participation à une entreprise terroriste. Ils seront tous présentés lundi 25 mai 2020 au procureur spécial près la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), Ulrich Gilbert Togbonon. Les regards sont tournés vers la CRIET pour savoir la suite à donner à ce dossier.
Tout ça c’est OBA OBA. On a tous compris
Il y a un seul travail, le travail bien fait… Si c’est fait autrement, tu assumes
leçon à tirer que chacun fasse bien son travail pour éviter ce genre de situation.
Ils sont en train d’amuser la galerie. Que cela ne trompe personne. Dans un régime dictatorial c’en est toujours ainsi. Chacun soupconne chacun et il ne manque de temps en temps des rebondissements des affaires sordides et rocambolesques de ce genre pour faire croire au public que l’on fait un travail sérieux. Quand la police et l’armée assassinent les populations à mains nues, quand les étudiants sont abattus comme une bête sauvage, quand des policiers armés entrent dans les églises en pleine messe pour brutaliser les paisibles fidèles à l’hôtel de leur Dieu, point besoin de méditer sur ce qui est en cours : Cela a un nom : C’est la dictature dans tout son élan. Pour en venir à bout il faut une force majeure, « Eine höhere Gewalt ». C’est ce à quoi il faut maintenant penser.
Eine jah höhere Gewalt »
Raison pour laquelle je ne fais pas de politique d’ailleurs.
Je ne suis ni corrompu, ni corrupteur.
Car je ne suis ni corrompu ni corrupteur.
Que celui qui appelle mon nom dans cette affaire se méfie beaucoup.
tu vas comprendre ta douleur
Que celui qui appelle mon nom ici, dans cette affaire se méfie beaucoup. Car je ne suis ni corrompu ni corrupteur. Raison pour laquelle je ne fais pas de politique d’ailleurs.
Histoire sans queue ni tête, quand on dit qu’il n’y a plus de justice au Benin les gens ne veulent pas comprendre mais voilà un exemple
ça craint franchement… Complicité, corruption ou inconséquence (perso je n’y crois pas), franchement, ils sont dangereux. On en est quand même à 1 civil égorgé et un policier tué
\\\\ ///
(@_@)
OLLAH Omarouuu tu es encore passé par là pour payer les procureur!!!, cela avec ton ami Gombo et ton homme de main (@-@) . A vos complices Joeleplombier et TCHITE, , ils ne perdent rien pour attendre
éhéyi!!!