Brigitte Macron : Ce jour où elle a vexé la femme d’un ex-ministre français

L’Actuel maire de Lyon, Gérard Collomb, avait alors qu’il était encore ministre de l’intérieur dans le gouvernement Macron, avait marqué son passage par une décision qui avait dire de lui dans la presse française qu’ « il avait fait peu de cas de l’autorité présidentielle ». En Septembre 2018, le ministre de l’intérieure déposait sa lettre de démission avec un préavis de quelques mois et réitérait sa volonté de partir deux semaines plus tard. Depuis l’ « excellente » relation qui liait le couple Macron et Collomb se serait depuis détériorée.

Des « dames de fer »…

Aujourd’hui rapportait un magazine français, la rupture semblait se prononcer de plus en plus entre le couple à la tête de la République française et celui à la tête de la mairie de Lyon. Les Macron et les Collomb. Si très tôt Gérard Collomb avait été d’un indéfectible soutien au jeune candidat Macron, la mayonnaise entre les épouses aurait mis quelques temps à prendre. Caroline Collomb, juriste et un bagage intellectuel chargé était connu à Lyon pour son caractère bien trempé et ses prises de décisions radicales. D’ailleurs rapportait la presse, la relation entre les deux femmes avaient connu un clash au cours d’un déjeuner au moment de la course pour la présidentielle.

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A Lyon au cours du déjeuner, Brigitte avait laissé entendre que si Macron était élu, « il lui faudrait quelqu’un de confiance » pour le poste de Premier Ministre. Une diatribe qui aurait fortement déplu à Caroline, qui avait assimilé la déclaration de Brigitte à un manque de reconnaissance au travail qu’abattait son époux dans la campagne du jeune présidentiable. La rencontre de deux fortes personnalités qui avait déjà produit des étincelles.

Mais l’eau avait coulé sous les ponts et les relations entre les deux couples s’étaient améliorées au point de devenir, selon la presse presque « complices ». Du moins jusqu’à la sortie de fracassante de Collomb du gouvernement en 2018. Et depuis, le froid se serait peu à peu immiscé au sein de la cordiale entente, jusqu’à aboutir à « un grand silence » que même les tractations en vue des dernières municipales à Lyon n’auraient pas réussi à briser.

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