Coronavirus : Donald Trump fulmine toujours contre la Chine

Le président américain Donald Trump a estimé que les relations entre les Etats-Unis et la Chine, avaient été « gravement endommagées ». Il a tenu ces propos hier vendredi 10 juillet 2020. A bord de son avion présidentiel, et en route pour l’Etat de Floride, le numéro un américain a encore une fois accusé le gouvernement chinois de n’avoir pas tout fait pour arrêter le nouveau coronavirus (covid-19). Selon lui, la Chine « aurait pu stopper » le virus. Quand les médias l’ont questionné sur une deuxième phase à l’accord commercial signé suite à deux années de guerre, le locataire de la Maison Blanche a répliqué : « je n’y pense pas pour le moment ».

Un accord signé en janvier 2020

A l’en croire, il a « beaucoup d’autres choses en tête ». Notons qu’au cours du mois de juin dernier, un conseiller du gouvernement chinois avait reconnu que l’épidémie de coronavirus « a des conséquences » sur l’accord commercial préliminaire signé en début d’année. L’accord « de phase une » conclut en janvier 2020 par les deux pays, avait marqué une trêve à la guerre commerciale, que se livraient la Chine et les USA. Celle-ci se traduisait par des taxes de douanes sur plusieurs centaines de milliards d’échanges bilatéraux. Comme clauses de cet accord signé entre les deux Etats, le président américain s’est engagé à mettre fin à toute nouvelle augmentation des droits de douane.

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200 milliards de dollars d’achat de produits américains

De l’autre côté, la Chine a promis accroître de 200 milliards de dollars, leurs acquisitions de produits américains sur deux ans par rapport au niveau de 2017. Pour rappel, la pandémie de covid-19 apparue sur le sol chinois fin 2019, a aggravé les tensions entre Washington et Pékin. La Maison Blanche accuse la Chine d’avoir mis trop de temps pour alerter le monde sur l’épidémie, et par ricochet d’être responsables de la propagation de la maladie.

Une réponse

  1. Avatar de Jacques Légaré
    Jacques Légaré

    Pour Trump, la Chine est secondaire. Au premier rang vient sa réélection de novembre. Bomber le torse nationaliste est sa tactique jusqu’en novembre.

    La défaite l’attend puisque les Républicains lui préfèrent Biden.

    Il est cuit.

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