Johnny Depp : des soutiens dont il avait besoin

Les employés de la star de Pirates des Caraïbes ont volé à son secours lors du procès qui l’oppose à son ex compagne Amber Heard. Alors qu’il est présenté par le média « The Sun » comme un époux violent envers la productrice, les employés de maison ont plutôt présenté devant la Haute Cour de Londres leur patron comme un homme non-violent. L’actrice qui avait divorcé avec lui après moins de deux ans de mariage avait évoqué  «des années de violences physiques et psychologiques». Mais les employés pour la plupart font remarquer que la victime dans cette affaire est plutôt celui qu’on accuse.

« Non, je n’aurais pas toléré ça… »

 Le garde du corps de Johnny Depp a totalement rejeté la thèse de violence évoquée. Pour lui, son patron n’aurait jamais pu lever la main sur la productrice. «Non, je n’aurais pas toléré ça (…) même si c’est mon patron», a martelé lors de son témoignage Malcom Connolly. Une autre employée de Johnny Depp a également abondé dans le même sens que le garde du corps. Il s’agit de la gestionnaire de l’île privée de Johnny Depp, Tara Roberts. Témoignant par vidéo-conférence depuis les Bahamas, elle a notamment fait remarquer que son patron n’est pas de nature violente et n’a jamais violenté son ex compagne en sa présence.

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Amber serait plutôt violente

 Elle a par la suite indiqué que c’est la productrice qui a visiblement coutume d’agresser Johnny Depp. La gouvernante Hilda Vargas était également présente lors de ce procès. Elle a étalé avec des images à l’appui, une situation plutôt embarrassante qu’elle a vécue avec l’ex épouse de son patron. Il s’agissait des excréments qui ont été retrouvés sur le lit du couple.

« Il était clair pour moi que c’était des excréments humains. Je savais que les excréments ne pouvaient provenir d’aucun des deux petits chiens de M. Depp et de Mme Heard. J’ai nettoyé après ces chiens de nombreuses fois et leurs excréments sont beaucoup plus petits. De plus, je n’ai jamais vu ces chiens déféquer dans le lit », avait confié l’employée.

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