Les Béninois ont désormais une idée de la composition du complexe hôtelier de la Marina près de la Porte du non-retour à Djègbadji, dans la Commune de Ouidah. La construction du Complexe hôtelier étant dans sa phase active, les éléments constitutifs du complexe ont été dévoilés. Selon le conseil des ministres du mercredi 22 juillet 2020, cet espace touristique va disposer d’une zone hôtelière d’environ 130 lits, d’une esplanade touristique avec restaurants, bars, et sites de divertissements, d’un théâtre de verdure pour la fête des religions endogènes et diverses manifestations culturelles, d’un parking paysager de 350 places et des jardins du souvenir. Il y est prévu aussi la reconstitution historique d’un bateau négrier, d’un jardin de recueillement et de la promenade flottante sur la lagune.
Il y est prévu aussi la reconstitution historique d’un bateau négrier, d’un jardin de recueillement et de la promenade flottante sur la lagune. Le projet du Complexe hôtelier de la Marina près de la Porte du non-retour s’inscrit dans le volet touristique du Programme d’actions du gouvernement avec pour ambition de révéler davantage le Bénin au monde. C’est un projet destiné à développer l’offre touristique du Bénin en général et de la ville de Ouidah en particulier.
D’après le compte rendu du Conseil des ministres, «au regard du niveau d’avancement des études du projet, le recours à l’expertise d’un bureau spécialisé dans les démarches qualité et sécurité, dans le respect des normes légales, techniques et environnementales est nécessaire ». C’est pourquoi le gouvernement a commandé des prospections. Et au terme de ces prospectives, le conseil des ministres a accordé son autorisation pour une mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage en vue de la conception et du développement du projet. C’est la société britannique Halcyon hospitality advisors, réputée en la matière, qui a été identifiée pour la conduite de la mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage dudit complexe hôtelier que développera le Groupe banyan tree.
A part une éventuelle cession de 99 ans pour le terrain et des facilités fiscales. En quoi le Gouvernement béninois est-il concerné, pour une opération privée dont les bénéfices repartirons de toute façon en grande partie ?
C’est financé à coups d’emprunts d’Etat aussi ?
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(@_@)
“repartiront…”
Hellian , vraiment qui va dormir là-bas ? Même pas talon ni sa femme ; endroit lugubre , peu attractif même l’existence de la casa del papa initiative privée bat de l’aile ; talon englouti des milliards des béninois pour un projet qui ne verra le jour qu’à la saints ” glin-glin ” tchrous
Qui va dormir a djegbadji? Patou ou Tata Clo? Joel le plombier devrait s’assurer de porter les valises
ne vous inquiétez pas. Ce n’est pas pour des pauvres d’esprit comme vous.
Pourquoi t’appelles-tu pauvre d’esprit ? C’est un bon nom ça ? Tcikooi.
Connerie des conneries , que talon le mėgaloman arrête un peu sa folie de grandeur en endettant à outrance le bénin ; les hôtels existants ont déjà du mal à remplir leurs chambres et voilà un autre à grand frais que le contribuable béninois devra payer
Toi ; tu es à l’image de Yabo. Un paysan né .
Va là-bas
Tchrous
Le Plombier
#Klébé_révélé
Yabo est un dévéloppeur né mais Patou un v….r……..dévine…tu trouveras ……né
Qui finance ce désordre ?
1-Quelle mentalité ? Beaucoup de peuple ont connu des humiliation dans ce monde. Bien sûr qu’on me dira pas pire qu’un Africain. Mais malheureusement, L’Africain a le penchant de célébrer plus le côté négatif de son histoire que celui positif.
2_Les Haïtiens ont vain cu la grande ar mée de Napo léon, mais les français n’ont jamais érigé des monuments à cette déf aite.
Vous comprenez déjà où je veux en venir ?
Quelle ment alité ? Beaucoup de peuple ont connu des humili ation dans ce monde. Bien sûr qu’on me dira pas pire qu’un Africain. Mais malheureusement, L’Africain a le penc hant de célébrer plus le côté né gatif de son histoire que celui positif.
Les Haït iens ont vaincu la grande armée de Napo léon, mais les français n’ont jamais érigé des monuments à cette déf aite.
Vous comprenez déjà où je veux en venir ?