Matteo Salvini, chef de la ligue d’extrême-droite italienne, a été agressée par une femme de nationalité Congolaise. Les faits se sont déroulés le mercredi 09 septembre dernier, pendant que l’homme politique effectuait un déplacement politique en Toscane. Selon les informations de 20 minutes suisse, Matteo Salvini se déplaçait dans le cadre de sa campagne pour les élections régionales. Une femme d’origine congolaise l’a ensuite agressé, lui enlevant le chapelet qu’il portait à son cou, un bouton de chemise et son masque de protection.
L’agression n’a pas pris du temps
La femme s’est par la suite approchée de Matteo Salvini, lui disant qu’elle le maudit. L’agression ne s’est cependant pas déroulée pendant un long moment, puisque la sécurité de l’homme politique est rapidement intervenue pour calmer la situation. Selon le média italien Ansa, la Congolaise en question n’aurait pas planifié son acte. Elle revenait de son travail et se serait donc par pur hasard retrouvée au bon milieu de partisans d’extrême-droite italiens. Aussi, précise le média, la femme est-elle dans un « état psychologique altéré ».
« La violence, non »
La victime, Matteo Salvini, a par ailleurs semblé ne pas être très remontée contre la femme qui l’a agressée. Dans une interview accordée au média Ansa, il a indiqué que chacun est libre d’avoir son opinion politique, tout en condamnant la violence. « Chacun peut avoir des idées politiques, de football ou religieuses différentes, mais la violence, non » a-t-il déclaré.
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