Reçue vendredi 23 octobre 2020 dans le numéro 286 du rendez-vous hebdomadaire Café Médias Plus, la vice-présidente de la commission électorale nationale autonome (CENA), Géneviève Boko Nadjo a passé en revue plusieurs sujets brûlants de l’actualité nationale dont la question du marchandage du parrainage soulevée mercredi dernier au parlement par le député Dakpè Sossou.
L’invitée de Café Médias Plus n’est pas allée du dos de la cuillère pour recadrer le sphinx de Lokossa, l’expérimenté député Dakpè Sossou. En effet, lors de la rencontre initiée par la commission électorale nationale autonome (CENA) mercredi 21 octobre dernier au parlement dans le cadre de la sensibilisation des députés sur les modalités du parrainage, l’ancien deuxième secrétaire parlementaire aurait subtilement demandé jusqu’à combien un député pourrait-t-il négocier le parrainage.
La vice-présidente de l’institution électorale est revenue à la charge vendredi 23 octobre au Café Médias Plus. La magistrate estime que ces propos tenus sont immoraux pour l’image de marque que projette le Bénin à travers le monde. « Je trouve tout simplement dommage que ce genre de considérations soit rendu public alors que nous sommes en train de parler de moralisation de la vie publique, d’éthique ».
Aux dires de Géneviève Boko Nadjo, toute personne prise en flagrant délit dans un exercice de monnayage du parrainage, qui qu’elle soit, n’échappera pas aux dispositions légales en place. Raison pour laquelle, elle a précisé en ces termes « si j’avais les moyens, la personne qui sera surprise à faire ce genre de tractations subira la rigueur de la loi. Nous sommes un pays respectable, tout le monde nous regarde », a-t-elle martelé.
Je ne comprends pas la mentalité du type béninois et jamais je ne saurais comment sa psychologie mentale à fin de déterminer si au fin fond de lui il voudrait réaliser quelque chose palpable pour récolter ou tirer un bénéfice proprement dit. Les preuves sont là et nous frappent en plein visage parce que le béninois se regarde dans le miroir et manque bêtement de donner les véritables réponses à ses problems politiques. Quel est le nom de ce diable enculé qui avait assombri votre conscience à ne pas penser selon la logique que le temps politique vous présente? The Atlantean avait conjuré la formation de deux partis politiques au Bénin, à la rigueur trois. Et malgré tous les appels et suggestions le pays compte environ plus de cinq partis politiques. Quelle idiotie! Le parrainage n’est pas un outil viable politique pour choisir un président, cela entrainera des conséquences politiques de nature néfaste. Avec le parrainage on ne saura jamais d’où sort le président élu.
Cette branleuse de Tiendo vit elle au Bénin ou est-elle sortie de sommeil ? Elle dit avoir une formation de magistrat et veut nous apprendre que le Bénin serait encore « un Etat respectable ». Un Etat qui à maintes reprises refuse systématiquement d’appliquer les décisions de la justice, est elle encore respectable et fréquentable ? Alors candiat à la présidence, l’autre petit-fils de négrier ne nous a -t- il pas docté qu’un Etat qui ne respecte pas les décisions de la justice serait « un Etat voyou » ? Depuis quand respecte
-on un Etat voyou Madame ?
La politique au Bénin est devenue en sorte un sujet de monnayage voire le parlement.
Si elle avait les moyens??? Hon Dakpè Sossou a dit haut ce que les autres disent bas. Nous sommes pas étonnés. L’autre avait je peux te parrainer sans te supporter… Eyaaa Marchandez vous, offrez vous au plus offrant . Le peuple vous regarde.
Si elle avait les moyens??? Hon Dakpè Sossou a dit haut ce que les autres disent bas. Nous sommes pas étonnés. L’autre avait dit je peux te parrainer sans te supporter… Eyaaa Marchandez vous, offrez vous au plus offrant . Le peuple vous regarde.
Nous savons tous les députés vont monnayer le parrainage, vous allez tromper qui?