• À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives
lundi, janvier 25, 2021
lundi, janvier 25, 2021
Connexion
Menu
La Nouvelle Tribune
Recherche
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Accueil Faits divers

France : viré pour n’avoir pas porté un masque, il conteste en justice

Par Romaric Sy
il y a 1 mois
(très populaire)
Commenter
FacebookTwitter

A lire

Ph: REUTERS/Max Rossi

France : face à Macron, ce sondage qui va booster Marine Le Pen

Photo d'illustration

France : une infectiologue pense improbable l’éradication du covid-19

Voir plus d'articles

Mohammed Belarbia, un ouvrier français intervenant dans le secteur du BTP et âgé de 54 ans, a été renvoyé de son travail par son employeur, pour faute grave. En effet, le plaquiste avait refusé de porter son masque en pleine pandémie de coronavirus (covid-19), sur le chantier d’une construction. C’était le 28 octobre 2020 qu’il avait appris son licenciement.

« Un traitement inhumain » selon son avocat

Le vendredi 18 décembre dernier, Mohammed Belarbia a saisi le conseil de Prud’hommes de Bordeaux pour contester son licenciement. La décision de l’employeur a été condamnée par l’avocat de l‘employé, Me Pierre Landete, qui a estimé qu’ « elle est violente et disproportionnée ». Il n’a pas manqué de condamner « un traitement inhumain » pour ce « père de deux enfants en bas âge », qui a toujours « donné satisfaction » sur son lieu de travail. L’entreprise a par ailleurs fait savoir, dans la lettre de licenciement, que ce n’était pas la première fois que ce dernier agissait de la sorte, puisqu’il avait déjà été rappelé à l’ordre, à maintes reprises sur le port du masque. Pour elle donc, Mohammed Belarbia a fait preuve « d’insubordination et de désinvolture ». La société lui avait souligné qu’il mettait en danger sa santé et « celle des autres collaborateurs de l’entreprise ».

Il était « seul » sur le chantier

Ces propos ont été désapprouvés par l’avocat du plaignant, qui a souligné que son client était « seul » sur le chantier, écartant ainsi tout risque de contamination avec ses collaborateurs. A l’en croire, « l’argument hygiéniste » ne saurait aucunement expliquer un licenciement pour faute grave, puisque d’après lui, l’entreprise mettait d’ailleurs à disposition plusieurs « toilettes insalubres ».

Nous vous recommandons

© ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP
Autre

France : ils volent 50.000 euros à un nonagénaire après l’avoir ligoté

Image de PublicDomainPictures - Pixabay
Autre

France : un homme tué à coups de couteaux en région parisienne

Voir plus d'articles

Commentaires 1

  1. Mike dit :
    24 décembre 2020 à 21:19

    Incroyable…

    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Dernier commentaire

  • Karl dans Bénin : Selon Aïvo, la candidature de Talon pose un problème d’éthique et de moral
Facebook Twitter Instagram RSS
Google News

Cliquez ici pour nous suivre sur Google News. Recevez des notifications depuis votre application de Google sur téléphone, ou des infos de dernière minute sur votre ordinateur.

A ne pas rater

Maria Zakharova.  / AFP PHOTO / Yuri KADOBNOV
A la une

Arrestation de Navalny : Moscou répond aux USA après les critiques

Liens utiles

  • À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives

© 2019 La Nouvelle Tribune

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • A la une
  • Bénin
  • Politique
    • Conseil des ministres
  • Société
    • Education
    • Culture
    • Communiqué
  • Economie
  • Les grandes Interviews
  • Santé
  • Bien-être
  • Insolite
  • Sport
  • Science & Tech
  • People
  • Opinion
  • Proverbes

© 2019 La Nouvelle Tribune

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Si vous désactivez les cookies, votre expérience sur le site sera fortement compromise.OkNonEn savoir plus