L’aveu de Hunter Biden. En effet, ce dernier, qui a reçu un emploi de la part de l’entreprise gazière ukrainienne Burisma, a confié qu’il était bien au courant que son nom avait joué un grand rôle dans cette décision, lui ouvrant de très nombreuses portes. Selon lui, Burisma n’a pas hésité à sauter sur l’occasion au moment de se décider.
Pour l’entreprise, le nom « Biden » renverrait effectivement à la démocratie, à la transparence. De fait, la société aurait tenté de capitaliser sur ces faits alors que l’Ukraine faisait face à une invasion russe en Crimée. Il était alors payé près de 50.000 dollars par mois par l’entreprise et ce, malgré son manque d’expérience.
Hunter Biden, un nom qui l’a beaucoup aidé
Pour autant, s’il reconnaît que son nom de famille a pu l’aider, ce dernier a expliqué que jamais son père, alors vice-président des USA, n’a eu quoique ce soit à faire dans cette affaire. Sa seule participation ? Avoir transmis le nom Biden à son fils qui l’avoue d’ailleurs, a vu de nombreuses portes s’ouvrir. Un privilège, certes, mais également un véritable poids. Entre accusations et besoin constant d’être à la hauteur, ce dernier a dû faire ses preuves.
Des opportunités mais également un véritable poids
Burisma elle, a su saisir l’opportunité. Dans une période au cours de laquelle l’Ukraine était visée par la Russie, cette société souhaitait faire patte blanche. Une décision qui s’inscrit dans une stratégie bien claire et définie. En effet, celle-ci avait pour objectif de se déployer à l’international. Le nom Biden pouvait donc paraître accrocheur et offrir de belles perspectives.
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