AstraZeneca et Pfizer : ces complications qui ont causé la mort de certains vaccinés

Il y a quelques jours des cas déclarés de myopathie, suite à une administration du vaccin Biontech-Pfizer, moins d’une dizaine, avaient inquiété les chercheurs français. Des cas qui s’étaient déclarés et qui avaient été documentés après la soixantaine qui avaient été découverts en Israël. Mais selon l’Agence française du médicament (ANSM), le nombre de cas par rapport aux nombres de doses administrées était encore trop faible pour parler d’effets indésirables. Cependant ce vendredi dans un rapport de pharmacovigilance, l’agence française annonçaient des cas de décès tant pour le vaccin germano-américain que pour l’AstraZeneca.

Des décès inquiétants…

Ce vendredi, l’ANSM publiait son 14 ème rapport de l’enquête de pharmacovigilance, une enquête « mise en place pour surveiller en temps réel le profil de sécurité des vaccins disponibles en France à partir des déclarations réalisées par les professionnels de santé, les personnes vaccinées ou leur entourage » sur la période allant « du 16 avril au 29 avril 2021 ».  

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Dans ce rapport,  les scientifiques français révélaient en France, « la déclaration de 6 nouveaux cas de pancréatite aiguë (…) dont 1 décès » suite à l’administration du vaccin « Comirnaty  (élaboré par Biontech-Pfizer ndlr) ». Le rapport révélait également pour le vaccin ‘’ Vaxzevria’’(élaboré par AstraZeneca ndlr), « 2 nouveaux cas de thrombose de localisation atypique, dont 1 décès, ont été analysés durant cette période, portant le total à 30 cas depuis le début de la vaccination, dont 9 décès ».

En outre, selon les conclusions de ces enquêtes les effets indésirables les plus documentés, pour le vaccin Vaxzevria étaient des « thromboses veineuses cérébrales », quand ceux pour Comirnaty étaient des « Pancréatites aigües ». Cependant avait tenu à préciser le rapport, « concernant les cas de décès déclarés, les données actuelles ne permettent pas de conclure qu’ils sont liés au vaccin. Ces événements continueront de faire l’objet d’une surveillance spécifique ».

Néanmoins, ces effets indésirables, « 16 943 cas analysés depuis le début de la vaccination » et les cas de décès documentés suscitaient de véritables interrogations sur la pertinence des vaccins. En tout état de cause l’ANSM a dit avoir transmis les résultats de ses analyses à l’Agence européenne des médicaments et recommandait surtout « à toute personne présentant des effets indésirables persistants au-delà de 3 jours (…) de consulter rapidement un médecin ».

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