C'est un secret de polichinelle. Au Bénin, les prix des denrées alimentaires de première nécessité ont connu une hausse ces dernières semaines. Ce qui a porté un coup au pouvoir d'achat des béninois. Pour le réseau social Watch Bénin, cette situation a appauvri encore un peu plus les personnes déjà vulnérables économiquement.
"Cette flambée des prix des produits de première nécessité affaiblit davantage les revenus des populations surtout les couches vulnérables " a déclaré Mme Blanche Sonon au micro de Deutsche Welle. La patronne de cette organisation de la société civile est persuadée que les revenus de cette couche vulnérable ont chuté dangereusement.
Il est difficile de manger en quantité et en qualité
Et les familles pauvres ont de plus en plus de difficulté à "manger en quantité et en qualité, car les greniers et les paniers de la ménagère sont quasiment vides". Pour rappel, le gouvernement avait expliqué la flambée des prix par la baisse de la pluviométrie et la vente des productions agricoles béninoises aux pays voisins par des agriculteurs à la recherche du profit.
Il a affamé le peuple pour être plus riche.
Voilà la véritable nature de l’homme. Aucune compassion, seulement ses intérêts.
Comment plus de 5 ans, le peuple est plus pauvre, et lui plus riche, et on me dira qu’il a travaillé.
Il faut être malhonnête pour faire une telle affirmation.
Memes dans les pays devellopes, il y a des food banks, ce qui permet a’ l’etat et aux autorites locales de reserver de la nourriture pour des redistributions gratuites, aux gens demunis.
Le Benin produit plus de coton a’ l’exportation qu’il en produit de produits vivriers. Nous voila’ devant des consequences de notre politique nefaste de production pour les industries etrangeres. 100% du coton est exporte’, ce qui n’est pas non plus bon pour le pays, mais juste bon pour quelques individus (deja’ tres riches).
Cette sortie de Social Watch Bénin, vous me faites de la peine avec cette sortie hasardeuse. Vous faites preuve de partie pris en ignorant les causes réelles de la cherté des produits alimentaires actuellement. En effet, il s’agit d’une situation générale au plan régional et mondiale imputable, pour l’essentiel aux perturbations climatiques. Allez au Togo, au Ghana et au Nigeria où le maïs, constitue l’aliment de base et vous verrez que la situation est la même. Aux USA et en Ukraine (les plus grands pays producteurs de maïs au monde, les récoltes ont baissé de moitié). Au lieu de vous répandre en critiques stériles, on attend de vous des propositions responsables pour solutionner ces difficultés au lieu de vous draper dans des postures d’opposants. Au Bénin, les jeunes délaissent l’agriculture vous venir grossir les rangs des chômeurs en ville en attente de travail de bureau rémunéré au smig. Les syndicats irresponsables réclament la hausse de ce smig alors qu’en produisant des produits agricoles on peut avoir des revenus supérieurs au smig. Bien entendu, l’Etat doit assumer son rôle en aménageant des espaces agricoles irriguées en particulier la vallée de l’Ouémé pour en faire le grenier du pays. Que ces organisations de la société civile jouent enfin leur rôle d’éducation du peuple au lieu de s’ériger en donneurs de leçons malvenues et irresponsables.
Le cerveau est fait pour réflechir…les yeux pour voir….!!!…bon sang
Est ce que le peuple..mange la meme chose…que les ruptiens…!!!???
La preuve…le peuple ne connait pas leurs salaires…
Ici…c’est l’inversion..des postures..
Le peuple dit souverain est au service d’un homme…
ça ne va pas changer.
au contraire ça va s’empirer.
le gouvernement n’est nullement responsable.
un seul appel, nous devons developper une agriculture domestique.
Et qui doit impulser cela? Quand le prince de l’heure n’a d’yeux que pour son coton. Quand le prince a supprimé l’ONASA, la SONAPRA pour ses intérêts égoïstes?
ça ne va pas changer .
Au contraire ça va s’empirer.
Ce n’est nullement la faute au gouvernement.
un seul appel , nous devons tous travailler et bien et surtout commencer par developper une agriculture domestique
Pour répondre à cette brave dame et en parodiant notre » agbonon » national , je dirai : » mangez mon coton «
la fin justifie la faim
Produisons plus de denrées alimentaires afin de faire chuter les prix et d’obtenir l’autosuffisance alimentaire.
Je suis d’avis. Si rien n’est fait en urgence pour produire en grande quantité, le plus pauvre devient déjà, plus, plus pauvre et le pauvre plus pauvre, parce que ne sachant à quel sein se vouer dans cette économie capitaliste qui est venu les surprendre.