C’est une information qui a fait beaucoup jaser la semaine dernière sur le continent africain. Laurent Gbagbo, l’ancien président ivoirien, est finalement rentré dans son pays la Côte d’Ivoire après 10 ans passés dans les geôles de la Cour pénale internationale (CPI). Une juridiction qui n’a pas la sympathie du Parti Communiste du Bénin. Il pense qu’elle est « une machine judiciaire à géométrie variable conduite par des hommes et femmes de main telle Fatou Bensouda au service des puissances impérialistes et de leurs protégés ».
La gambienne a d’ailleurs été nommée à la suite de Moreno Ocampo pour « tenter de couvrir la déportation à la CPI contre les dirigeants africains » croit savoir cette formation politique si chère à Philippe Noudjènoumè. Elle dit constater que l’avocate ne s’est pas fait prier pour poursuivre avec zèle la « sale besogne dans le dossier Gbagbo pendant que Ouattara, cet autre grand acteur de la crise ivoirienne, joue dans l’ombre au service de la France qui veut « sécuriser son président (Ouattara) et éviter la déstabilisation du pays« .
» Une Cour esclavagiste «
En se comportant ainsi, Mme Bensouda, se révélait d’avantage comme « l’esclave de maison au service des maîtres esclavagistes modernes, les puissances impérialistes, la France dans le cas d’espèce ». Elle appartient donc « à cette faune d’esclaves de maison, de klébés (garçon de courses dans le jargon de la douane béninoise) dont se sert la France , qui manipule, pour essayer de couvrir la CPI ». Une Cour esclavagiste pour la déportation de dirigeants ou de personnalités en disgrâce auprès de la France, croit savoir le Parti Communiste du Bénin.
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