La suppression de l’Office national d’appui à la sécurité alimentaire (ONASA) a été récemment évoquée après la hausse des prix des produits de première nécessité au Bénin. Certaines opinions ont regretté la disparition de cet office qui aurait pu selon eux, éviter au pays cette situation. Du côté du gouvernement, on ne voit pas les choses sous le même prisme. Hier vendredi 02 juillet, Wilfried Léandre Houngbédji, le porte-parole de l’exécutif est revenu sur les raisons ayant motivé cette décision gouvernementale.
"Dans l’espace UEMOA, le Bénin est le deuxième producteur de vivriers "
C’était à l’occasion d’une séance d’échanges avec les médias en ligne. Selon les explications de l’ancien journaliste, le gouvernement ne nourrit aucun regret après la liquidation de l’ONASA. « Nous ne regrettons pas d’avoir supprimé l’Onasa. Rappelez-vous du scandale Onasa où des milliards sont partis en fumée. Bien qu’on ait supprimé l’Onasa, le Bénin a repensé sa stratégie agricole. La preuve, dans l’espace UEMOA, le Bénin est le deuxième producteur de vivriers » a déclaré Wilfried Léandre Houngbédji selon les propos rapportés par le site Les Pharaons.
Ce classement au plan régional n’a pas cependant pas permis au Bénin d’éviter la hausse des prix des denrées de première nécessité. Une situation que le gouvernement de Patrice Talon justifie par la rareté des pluies et la vente des productions agricoles béninoises aux pays voisins par des agriculteurs à la recherche du profit.
Voilà un compétant qui s’amuse à se prononcer sur des questions qu’il ne maîtrise pas !!!
Même si L’ONASA a des problèmes de gestion, est il prouvé que sa mission ne se justifie plus ???
Quelles sont les études qui l’attestent ???
Seulement une vision d’un aventurier politique qui n’a aucune référence en matière de la gestion des affaires publiques dans un pays comme le nôtre ???
La suppression de L’ONASA est une erreur stratégique grave. Il suffisait de revoir le mode de gestion pour plus d’efficacité. Mais ils n’en ont pas la compétence et /ou il fallait faire de la place pour mieux contrôler la richesse agricole du pays.
Comment dans un pays où la culture vivrière serait l’une des plus importantes de la sous région peut connaître des flambées de prix d’une telle ampleur ???
La réponse est toute simple, il y a une carence dans l’organisation. Et L’ONASA dans ses attributions prévenait cette crise.
Mais lorsqu’on a un dirigeant qui proclame clairement que dans tout ce qu’il fait, il pense d’abord à lui, ce qui se passe actuellement ne doit étonner personne.
Patrice Talon affame le peuple béninois pour remplir ses poches, voilà la vérité et elle est démontrable.
Léandre Houngbédji tu parles trop sans convaincre tes compatriotes et je pense que tu as besoin d’un coach en la matiere et soigne aussi ton look vestimentaire.
Un grand plouck ce type , avec une sale mentalité
D’un cynisme sans pareil ces gens
Au lieu de venir voir le variant delta en une personne sur ce forum, vas produire tel que je le fais, mécanisation et forage à l’appui. Je ne me plains du manger donc. En tout, une stratégie est nécessaire, même dans l’agriculture. L’état a les moyens, mais malheureusement, le peuple Béninois a toujours été pris en otages par la classe politique.
Tchité
tu es aussi variant que le variant delta, rien d’autres, et en plus un scroc mondial
Avec des versatiles comme toi on ne peut jamais mieux produire
Si tu es un e. scroc, tu seras pris tôt ou tard dans les mailles de la justice. Chez nous au Bénin, on dit que c’est une e. scrocs qui reconnaît l’autre.
On ne produit pas assez. On peut faire mieux. Si nous sommes 2ème derrière le Burkina Faso, un pays qui n’est pas sur la côte ouest Africaine et qui de surcroît, exporte des vivriers vers le Bénin, ça ne vaut pas la peine.
Maintenant, parlant de manque de pluies, nous avons des eaux de surfaces et celles souterraines. Ils n’ont pas assez investi dans les forages.