Quelques heures après l’annonce de sa nomination en tant que présidente de l’Institut national de la femme en conseil des ministres, Claudine Prudiencio s’est fendue d’un message dans lequel elle exprime sa gratitude à endroit du chef de l’Etat Patrice Talon. Elle dit avoir pris conscience de l’immensité de la tâche et lance un vibrant appel à l’endroit de toutes les femmes afin qu’elles ne baissent pas les bras à un moment où le président de la République multiplie les preuves qu’il les regarde.
Deux sentiments animent la présidente d’honneur de l’UDBN, Claudine Prudencio après sa nomination comme présidente de l’Institut national de la femme (INF). La nouvelle suscite une grande émotion à son niveau et elle éprouve « un sentiment de joie, de gratitude et de reconnaissance à l’endroit du Chef de l’Etat et de son Gouvernement ». Ensuite, cette nomination lui inspire un sentiment de grand honneur que le président de la République lui fait en la nommant à la tête de cet Institut. Pour elle, par cette nomination, le président Talon vient de reconnaître le travail de longue haleine qu’elle mène « aux côtés des Amazones et Soldats du Bénin, pour défendre la place de la femme dans notre Société ». Claudine Prudencio estime que le chef de l’Etat « a pris la mesure de la place de la femme dans notre société et pense que cette énergie positive qu’elle incarne doit constituer un outil supplémentaire à sa disposition, pour mener à bien le combat sans répit qu’il mène pour le développement de notre pays ».
Ayant pris conscience de l’immensité de la tâche, elle reste convaincue qu’elle saura déployer toutes les énergies nécessaires, afin que le président Talon ne regrette pas le choix porté sur sa modeste personne. Elle finit son message « en lançant à toutes les amazones du Bénin sans distinction, un vibrant appel en leur disant que le Président de la République, Patrice Guillaume Athanase TALON, continue de donner la preuve, qu’il nous regarde, qu’il nous suit et qu’il nous accompagne ». Ce n’est donc pas le moment de baisser les bras, « car nous avons la responsabilité de l’accompagner afin que les efforts que nous effectuons depuis un long moment à notre niveau, trouvent davantage son écho sur toute l’étendue du territoire National, pour le bien-être de nos mères, de nos sœurs et de nos filles ».
Laisser un commentaire