La star américaine du Rnb R. Kelly dénonce les conditions de sa détention au sein de la maison carcérale de Brooklyn. Le chanteur américain condamné à 30 ans de prison pour crimes sexuels a saisi le tribunal fédéral de Brooklyn par le biais d’une plainte qu’il a déposée. Il fait savoir que les responsables du Metropolitan Detention Center (MDC) l’ont soumis à un traitement particulier. Il indique qu’il est soumis à «une punition cruelle et inhabituelle».
La star condamnée pour crimes sexuels exige des dommages-intérêts compensatoires et punitifs. L’avocate de R. Kelly a rapporté une confidence qui lui a été faite par un procureur qui a cité à son tour, le conseiller juridique. «Selon le département de psychologie, il est en alerte psychologique pour diverses raisons, comme l’âge, le crime, la publicité et la condamnation», a rapporté la femme de droit.
Le cas de Ghislaine Maxwell
L’explication ne semble tout de même pas satisfaire Jennifer Bonjean. «En termes simples, MDC Brooklyn est géré comme un goulag», a-t-elle fait savoir. Rappelons que l’interprète de I Believe I Can Fly n’est pas le premier détenu à subir un traitement spécial au sein de la prison de Brooklyn. Le 24 juin dernier, Ghislaine Maxwell avait été placée sous surveillance médicale avant sa condamnation à 20 ans de prison. La mise en cause est accusée d’avoir aidé le financier Jeffrey Epstein accusé d’avoir abuser sexuellement de jeunes mineurs.
Laisser un commentaire