Suite à la perquisition qui a été faite au domicile de l’ancien président en Floride, les menaces de mort à l’endroit des agents du FBI ont connu une augmentation. Selon les informations annoncées par le médias Fox News, les autorités judiciaires surveillent les publications des partisans de Trump sur les réseaux sociaux. Il ressort que les principales cibles de ces menaces de mort sont les agents du FBI, son directeur Christopher Wray, et le procureur général Merrick Garland.
Une guerre civile?
Nombreux sont ces partisans d’extrême-droite qui ont accentué les publications en annonçant la tenue d’une guerre civile. « Je soutiendrai un démantèlement complet et l’élimination des chemises brunes démocrates connues sous le nom de FBI », a écrit le représentant républicain Paul Gosar, de l’Arizona, comparant les agents fédéraux au parti nazi.
Rappelons que ces mots interviennent dans un contexte où l’enquête fédérale en cours avait pour but de savoir si Trump avait illégalement supprimé des dossiers de la Maison Blanche alors qu’il quittait ses fonctions en janvier 2021. De son côté, Donald Trump évoque un acharnement politique contre lui dont le seul objectif serait de l’empêcher d’aller aux prochaines élections.
Trump refuse de répondre
Dans un communiqué, il a déclaré avoir « refusé de répondre aux questions, en vertu des droits et prérogatives accordés à tout citoyen par la Constitution des États-Unis ». « À New York ce soir. Je vois la procureure générale raciste de New York demain pour la poursuite de la plus grande chasse aux sorcières de l’histoire des États-Unis », avait-il laissé lire quelques heures plus tôt sur Truth Social.
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