Recrutement post-covid: des milliers d’offres et de candidatures en occident

Face à la pandémie et ses ravages, de nombreux employeurs se sont retrouvés sans main d’oeuvre en occident. Une situation qui a conduit à la mise en disponibilité de nombreuses offres d’emplois partout en occident, de la France au Canada. Une séance de recrutement en ligne a même eu de nombreuses offres relayées par la presse canadienne. Si la pandémie a durement frappé l’économie mondiale, elle a permis à des fleurons du net de s’en sortir gagnant. Aux USA, des entreprises comme Amazon ont vu leur chiffre d’affaires exploser.

Mais au-delà de ces exceptions, la plupart des entreprises ont subi des difficultés quant au recrutement du personnel dont ils avaient besoin pour faire évoluer leur business. D’abord les métiers en contact avec les personnes ont difficilement vécu cette période, les potentiels candidats fuyant les emplois jugés à risque. Du coup, de nombreux restaurants ou encore hôtels ont grandement manqué de personnels.

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D’autres secteurs comme l’informatique ont aussi été marqués par ces difficultés mais pour de toutes autres raisons. Par exemple, les métiers de développeurs ont été très sollicités. Ce qui a poussé les candidats à se vendre beaucoup plus chers, mais surtout à ne pas hésiter à changer de postes laissant des employeurs sur le carreau. Une grande pénurie générale a donc pu être constatée pendant cette période. Avec la reprise économique et la fin des confinements et mesures drastiques plusieurs entreprises ont organisé leurs séances de recrutements de manière plus professionnelle. Améliorer son processus de recrutement est donc une nécessité pour être sûr de recruter les meilleurs éléments dans les meilleures conditions.

Pour preuve, au Québec, une entreprise a dédié une bonne partie de sa stratégie pour le recrutement de personnel qualifié. En tout, un million de cv ont été reçu, une stratégie de communication qui a fait le tour de la toile au Canada il y a quelques semaines. « On a fait une mission virtuelle en février dernier Il y a un très grand attrait… c’est énorme. On fait une diffusion à travers le monde. On est vus et on est suivis » a déclaré Carl Viel, PDG de Québec international relayé par le site Journal de Québec. Le tout revient donc à choisir la bonne stratégie pour atteindre la bonne cible, mais adaptée à la sociologie de chaque pays et population visés.

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