Le Bénin est confronté depuis plusieurs années à une augmentation inquiétante de la cybercriminalité. Au cours de l’émission «Lutte contre la cybercriminalité : le Bénin s’engage», diffusée sur l’ORTB, des chiffres alarmants ont été annoncés par le procureur spécial de la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), le magistrat Mario Mètonou. En effet, à la date d’aujourd’hui, le Bénin compte 1188 détenus dans les prisons pour des faits de cybercriminalité, incluant les personnes déjà condamnées et celles en attente de leur procès. Au cours de l’année judiciaire 2020-2021, 360 condamnations pour des questions de cybercriminalité ont été prononcées. Ce nombre a augmenté à 451 au cours de l’année judiciaire 2021-2022, et à la date d’aujourd’hui, durant l’année judiciaire en cours, il y a déjà eu 263 condamnations.
Ces chiffres montrent que la cybercriminalité est devenue un véritable fléau au Bénin, touchant un grand nombre de personnes et provoquant des pertes financières importantes pour les victimes. Le gouvernement considère donc que la lutte contre la cybercriminalité est une affaire d’État et a mobilisé tous les services concernés pour lutter contre ce fléau et sensibiliser les citoyens à cette menace.
Face à cette situation, le gouvernement béninois a décidé de s’engager activement dans la lutte contre la cybercriminalité. Cette décision a été prise en réponse à l’augmentation continue du nombre de victimes de cybercrimes dans le pays. En effet, ces derniers mois, l’actualité est marquée par de nombreuses arrestations de cybercriminels.
Le président de la République a ainsi instruit tous les services concernés de se mobiliser et de mutualiser leurs efforts pour une lutte plus efficace contre la cybercriminalité. Le gouvernement a également mis en place des campagnes de sensibilisation pour informer les citoyens des risques de la cybercriminalité et leur apprendre à se protéger. Le gouvernement béninois considère que la cybercriminalité est une menace pour la sécurité et la stabilité du pays, ainsi que pour l’économie nationale. Les pertes financières causées par la cybercriminalité sont importantes, et elles peuvent affecter la croissance économique et le développement du pays. Le pays s’engage ainsi à poursuivre sans relâche tous ceux qui se livrent à ces pratiques illégales et à renforcer la sécurité numérique sur l’ensemble du territoire.



Tout cybercriminel.est forcément intelligent .psy.en tout cas à une connaissance parfaite des forces et faiblesses de l être
La suite
Les gays Man.utilisent toujours des leurres..en s appuyons sur le côté cupide de l être
Celui qui a promis faire pleuvoir des conteneurs de dollars sur nous a utilisé le même principe
Oui est cybercriminel????
Prendre ces cybercriminels, leur donner une formation militaire de base .puis les envoyer au front au nord du Bénin pour lutter contre les bandits armés sévissant dans le Sahel. Au lieu de faire envahir par les lugubres rwandais.
Je chute en disant la répression oui mais ne résoudre pas le fénomène il faut la formation des jeunes diminutions du chômage en gros de l’emploie c’est ça la vérité dixit Dr Doss
Doss n est cybercriminel…mais poisson criminel sodabi criminel
Moi je ne vois que dans ce fénomène de cybercrinalité le chômage galopent la misère non formation des jeunes !!! Dixit Dr Doss
Je penses que l’état à d’autres préoccupations primordiale comme le développement l’éducation santés l’agriculture etc hélas j’en passe dixit Dr Doss
Même le Nigeria pays fondateur de la cybercrinalité n’a pas transformé cela en affaire d’état dixit Dr Doss
Pourquoi l’augmentation de la cybercrimilaite posons nous des vrais questions dixit Dr Doss
Il faut payer attention!

Quand on lit les chiffres :
– 1,5 milliards cfa de vol en 2021…
– 500 millions en 2022 depuis que la police s’est mise massivement en chasse
– Et là, ça remonte…
Bref, sur le côté coercition les choses vont bon train, mais effectivement entre sensibilisation et mesures de prévention sociales/économiques, au profit des milieux rural et urbain,
vous comprenez pourquoi il est stratégique que GDIZ et développement de filières nationales (aviaire) réussissent : revenus du travail, accessibilité des produits nationaux, de 1ère nécessité.
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(@_@)
Loin de moi l’idée de soutenir la criminalité ni de la justifier, mais il est de notre responsabilité de reconnaître la faillite des programmes de développement économique et la répartition inégale des richesses nationales depuis les indépendances à nos jours. Est-ce que nous pouvons dire qu’aujourd’hui, un jeune, dont les parents n’ont aucune relation soit dans la classe politique soit dans l’administration publique, peut réussir à trouver un emploi dans le secteur public même s’il en a les aptitudes ? Est-ce que les mécanismes des marchés publics permettent vraiment de recrutés les meilleurs prestataires ? L’inégalité des chances est un cancer aussi grave que la criminalité et en est souvent le fuel.
Nous avons de la terre..et faire de la politique ou travailler dans l l’administration.ne sont pas les seuls leviers pour réussir sa vie
Partisan du moindre effort..
La facilité.
L ambition de paraître..
Seuls les noirs n ont pas encore compris que seul le travail peut rendre riche
Même si on peut m opposer le fait que nos parents au nord travaillent sans devenir riche
Nous fumes aussi née au Bénin, et on a réussi dans la vie à l’âge adulte.
Pourquoi penses-tu qu’il faut toujours tou t attendre de l’état ?
Il faut lui rappeler son rôle sans rien attendre à 100% de lui.
Comme un cancer encouragé par la CEDEAO ..ces ibo ont envahi toute l Afrique de l ouest
Nord foire parcelles assainie guediawaye pikine ngor…ces gnak sont partout au Sénégal
La cybercriminalité. La prostitution ..toute forme de turpitudes humaines.dis je sont d origine iboo
Il faut faire comme au Burkina, et aux usa prendre ces jeunes divorcés sociaux, et le réorienter dans le bon côté des tic, de l’agroalimentaire etc pour la bonne cause de l’état et du pays.