L’Italie est confrontée à une crise démographique qui inquiète bon nombre d’experts transalpins. Actuellement, le pays possède le taux de fécondité le plus bas de la zone UE. Face à cette situation, le Pape François a tiré la sonnette d’alarme. Dans un discours livré à Rome, le souverain Pontife a déclaré que la baisse du taux de natalité était le signe d’un manque d’espoir dans l’avenir, les jeunes générations étant accablées par un sentiment d’incertitude, de fragilité et de précarité.
Le Pape s’est désolé du fait que les jeunes couples préfèrent désormais avoir des animaux de compagnie que des enfants. Il a notamment fait un parallèle avec une jeune femme qui s’était présenté devant lui afin qu’il bénisse son petit chien. "J’ai perdu patience et je lui ai dit : il y a beaucoup d’enfants qui ont faim et vous m’apportez un chien" a notifié le Pape François qui rétorque en ces termes : "La difficulté à trouver un emploi stable, les loyers élevés et les salaires insuffisants sont des problèmes réels". Au cours de son discours dans la capitale italienne, le souverain Pontife a pu compter sur la présence du Premier ministre, Georgia Meloni. D’après plusieurs économistes italiens, la chute de la natalité pourrait engendrer de graves conséquences pour l’économie nationale.
Giancarlo Giorgetti, le ministre de l’Économie a déclaré que la baisse de la natalité en Italie entraînerait une réduction de 18 % du PIB. Selon Georgia Meloni, cette situation correspond à une urgence nationale et il faut au plus vite trouver des solutions idoines pour y remédier. Elle préconise en outre de mettre en place des mécanismes qui vont permettre aux femmes de pouvoir allier vie familiale et professionnelle lorsqu’elles tombent enceintes.
Ils se sont développés au moment où ils avaient une population jeune et nombreuse. Avec le vieillissement accélèré de la population, c’est la descente te aux enfers s’ils ne comble pas le déficit par une immigration de qualité. C’est ce que l’Allemagne a fait avec plus d’un million de syriens.
Si on laisse les déstabilisations de nos pays de côté, et nous concentrons uniquement sur ce que les autres veulent nous entendre dire, on va rater la marque, et c’est comme traité un problème d’antorse au pied à base d’un médicament 💊 pour contre les maux de tête. Ça ne résoudra rien en fin de compte.
L’Afrique a d’autrres problème plus pressant que la démographie. Parler tout le temps de démographie pour expliquer tous les problèmes Africains est paresseux et infantilisant. Le rapport occident-Afrique est déséquilibré en terme de pillage du continent économiquement (franc CFA), implantation des armés et entreprises étrangères et la fuite de capitaux et les déstabilisation continues.
Les pays scandinaves sont peu peuplés mais ils ont la meilleure qualité de vie sur terre
Jeune j ai eu l occasion de rendre visite à des parents à Lagos
Ce que j ai vue la bas prouve qu une démographie trop forte n assure pas un développement
Tchite
Le développement c est pas une course de vitesse
La qualité de vie pour ce petit temps sur terre est plus important qu une forte démographie avec des malheureux
Au contraire L’Afrique est sous peuplé, ne vous y tromper pas.
Il faut attaquer le problème à sa source. La misère en Afrique n’est pas dû à la taille de sa population. L’Afrique à actuellement 1.2 milliards d’habitants. L’inde en a 1.4 milliards. En terme de superficie, L’inde peut être placée 11 fois dans L’Afrique. On n’a pas de problème démographique donc.
Moi je suis pour une procréation responsable
Le développement n a aucun sens avec des géniteurs irresponsable
La souffrance de nos enfants
La prostitution de nos filles sœurs
Dis je ont pour responsable cette natalité incontrôlable
Les animaux prennent mieux soin de leurs rejetons que nous le faisons aujourd’hui.
J’ai dit
Ce n’est pas faux.
En dehors de ce phénomène, le Pape et l’église catholique sont coupables d’encourager l’homosexualité. Le résultat est le même : faible natalité.
La démographie est un facteur de développement. Que nos dirigeants en prennent conscience, eux qui veulent coûte que coûte réduire la natalité chez nous.
Si vous êtes pauvre avec une faible démographie en plus, vous ne vous développerez jamais. Israël a compris. En moyenne, 3 à 4 enfants par femme actuellement.
Non seulement remplacent-ils les enfants par les animaux, mais les maris et les femmes sont aussi remplacés par les animaux.