Russie: cet animateur pro-Poutine défie Zelensky en duel (VIDEO)

Vladimir Soloviev - Capture écran

Dans une émission télévisée récente, l’animateur russe Vladimir Soloviev proche du Président russe Vladimir Poutine a franchi une nouvelle étape dans ses attaques contre les autorités ukrainiennes. Soloviev, fervent défenseur du Kremlin, a défié Zelensky en duel afin de régler leurs différends de manière séculaire. Un extrait de l’émission a été diffusé sur Twitter. Dans un clip diffusé sur Twitter par Julia Davis, une Journaliste à TheDailyBeast et créatrice du Russian Media Monitor, l’animateur de la chaîne Russie 1 a insulté violemment le président Zelensky. Soloviev a dans la suite de son intervention affirmé que Zelensky était un spectateur assidu de son émission nocturne et qu’il aurait même ordonné à son chef du renseignement, Kyrylo Budanov, de le « tuer ».

Il a par la suite poursuivi les attaques contre le numéro un ukrainien qu’il ne porte pas du tout dans son cœur. « Zelensky devient hystérique et fait une crise », a déclaré l’animateur pro-Kremlin. Il a laissé entendre qu’il réussit à perturber l’esprit du dirigeant ukrainien. Soloviev a ensuite donné son avis sur la manière de résoudre le différend qu’il y aurait entre lui-même et le président ukrainien Volodymyr Zelensky. « Retrouvons-nous comme des hommes », a lancé l’animateur qui semble vouloir d’un duel impliquant des armes à feu. « J’ai mon fusil, vous avez le vôtre, allons-y », poursuit l’animateur dont les positions sont favorables à la guerre en Ukraine.

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Ce n’est pas la première fois que cette voix pro-Kremlin fait parler d’elle. En Janvier dernier, l’éditorialiste pro-Poutine avait menacé Berlin et affirmé que l’Allemagne avait « déclaré la guerre à la Russie ». Dans le même mois, l’animateur russe Vladimir Soloviev s’en est pris à la France et appelait à des actions contre le pays de Jacques Chirac et de François Mittérand. En Février, il se demandait pourquoi son pays ne faisait pas usage de l’arme nucléaire, bien qu’il en disposait. « Pourquoi diable avons-nous un stock d’armes nucléaires tactiques et stratégiques ? Pour avoir peur de l’utiliser ? », s’était demandé début février l’éditorialiste pro-Kremlin.

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