L’ultimatum donné par la Cedeao aux putschistes ayant pris le pouvoir, pour rétablir le président démocratiquement élu Mohamed Bazoum vient d’expirer ce lundi 07 août. Les deux camps affûtent les armes. Les populations du Niger et de la sous région ne suivent pas le mouvement va-t-en-guerre. Et le monde entier retient son souffle. La sous région ouest africaine est sous haute tension. Le délai octroyé à l’homme fort du Niger, le président auto-proclamé du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (Cnsp) Abdourahamane Tchiani pour libérer le président élu Mohamed Bazoum et lui permettre de reprendre les rênes du pouvoir a expiré il y a quelques heures.
Le Niger a depuis quelques heures fermé son espace aérien « face à la menace d’intervention qui se précise à partir des pays voisins« . Chacun se demande si la menace des dirigeants de la Cedeao de recourir à la force après ce délai sera mise à exécution. Au stade actuel, personne ne peut savoir ce qui va se passer dans les prochains jours. On imagine que dans les coulisses, les tractations vont bon train avec les putschistes pour une sortie de crise. Entre les chefs d’État de la Cedeao aussi. Pendant ces dernières heures, le téléphone n’a certainement pas cessé de sonner dans toutes les chancelleries françaises et américaines également.
Ce qui est certain, les dirigeants de la Cedeao pourraient se réunir en sommet spécial autour du président en exercice de la Cedeao Bola Tinubu dans quelques jours pour savoir la conduite à tenir dans tous les cas. Les résultats de toutes ces tractations sont religieusement attendus. Peut-être qu’elles permettront de proroger l’ultimatum et offrir une chance à la paix. Ou au contraire décider de déclencher les hostilités. On saura aussi si les lourdes sanctions économiques et financières imposées au Niger, étaient pour la Cedeao une occasion de montrer les muscles pour faire céder les putschistes, ou est-elle prête à partir au combat. « La voie militaire n’est que la dernière option sur la table », a souligné M. Musah.
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Il n’y a aucun fondement juridique de la déclaration de guerre par la CEDEAO au Niger. J’invite tous les Béninois à bloquer pacifiquement toutes les routes menant au Niger et ne laisser aucun militaire béninois se diriger vers le Niger.
La désobéissance pacifique dans l’intérêt supérieur de nos soldats est un devoir et un droit constitutionnel.
Aucun soldat béninois ne doit mourir pour un seul homme : Bazoum
Nous regrettons son sort, nous condamnons tout coup d’état mais nous refusons de prendre les armes contre nos frères nigériens car aucune douleur ne saurait justifier la mise à mort.
“Fin de l’ultimatum, et après ?“, y a foy.
Talon dit qu’il peut. Il n’a qu’à “peut” maintenant. Même les gens sans cou.illes parlent aussi.
Le c. hien 🐕 aboie, la caravane passe.
Le chien 🐕 aboie, la caravane passe.
Tinubu vous et vos compaires présents qui ont pris cette décision suicidaires contre le Niger un pays frère c’est qu’ils vous manquent l’intelligence du situation tout simplement notez moi bien ça dixit Dr Doss
Arrêtez de danser à chaque l’impérialisme tire sur la ficelle pour paraphraser notre patriotes président Traoré dixit Dr Doss
Baba Tinubu le dormeurs réveillez vous !!! Dixit Dr Doss
La légion saute sur Kolwezi.. pardon sur Niamey
A ce qu il paraîtrait..Kim aurait traversé.le pont de malanville.. à ta tête du corps expedionnaire béninois lourdement armé
Et ceci.a minuit pile
A l heure où je vous parle..un premier corps à corps.se déroule au encablures de doss
Nul doute.nous vaingrons.dixit kerekou
Lire dosso
Et toujours toujours hors-sujet notre sultan mèsi (instituteur) kpawo dixit Dr Doss