L’actrice américaine Keke Palmer, célèbre pour ses rôles dans « Nope » et « Hustlers« , a récemment obtenu la garde temporaire exclusive de son fils âgé de huit mois, suite à des accusations de violence domestique contre son ex-compagnon, Darius Jackson. Dans un contexte tendu, marqué par des allégations sérieuses, un juge du comté de Los Angeles a répondu en émettant une ordonnance restrictive temporaire contre Jackson.
L’actrice a déposé une demande d’ordonnance de protection après avoir subi, selon elle, de multiples abus physiques de la part de Jackson. En vertu de cette ordonnance, il lui est interdit de voir son fils et il doit se tenir à une distance d’au moins 100 mètres de Keke Palmer et de leur enfant.
Dans sa déclaration, l’actrice a décrit des incidents de violence, affirmant que Darius Jackson s’était introduit chez elle sans son consentement, l’avait menacée et agressée physiquement. Elle a relaté un incident particulièrement violent survenu le 5 novembre, où Jackson l’aurait attaquée, projetée par-dessus un canapé, et aurait arraché son téléphone lorsqu’elle a tenté d’appeler la police.
En outre, elle a allégué que ces comportements abusifs se sont déroulés en présence de leur fils, soulignant l’impact potentiellement traumatisant de tels actes sur un enfant. Ces révélations ont conduit à une prise de conscience plus large sur les questions de violence domestique, mettant en lumière les défis auxquels sont confrontées de nombreuses victimes pour protéger à la fois leur intégrité physique et le bien-être de leurs enfants.
La situation a pris une tournure publique lorsque l’ex a récemment partagé une photo de leur fils sur les réseaux sociaux, accompagnée d’un message émotionnel. Cette publication intervient dans un contexte où il a également été critiqué pour ses commentaires sur les choix vestimentaires de Palmer, reflétant ainsi les tensions sous-jacentes et les désaccords entre les deux parties.
L’affaire, qui a suscité une attention médiatique considérable, est loin d’être terminée. Une audience est prévue pour décembre, où des décisions supplémentaires concernant l’ordonnance de protection et la garde de l’enfant seront prises.
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