Dans la ville de Bohicon, située dans le département du Zou, un tragique incident a eu lieu. Il s’agit d’un enseignant qui est mort après s’être effondré dans sa salle de classe. Selon les informations de la presse béninoise, le drame s’est déroulé le jeudi 04 janvier 2024. En effet, à la reprise des cours suivant les congés de fin d’année, lorsque l’enseignant, après avoir présenté ses vœux de Nouvel An à ses élèves, avait commencé à distribuer des copies avant de s’effondrer.
La surprise parmi les élèves
Transporté en urgence au centre de santé, il n’a malheureusement pas survécu. Cette mort soudaine a suscité la surprise parmi les élèves et les collègues, qui l’avaient vu visiblement en bonne santé quelques instants auparavant. Bien que toute mort subite puisse être déconcertante, cet événement pourrait raviver les discussions sur les conditions de vie et de travail des enseignants au Bénin, en particulier ceux qui n’ont pas le statut d’agent permanent de l’État.
Notons que ce drame intervient plusieurs mois après l’invitation de l’autorité ministérielle à l’endroit des enseignants, afin qu’ils respectent le code vestimentaire. Selon les informations de la presse locale, le ministre béninois de l’Enseignement maternel et primaire, Salimane Karimou, avait publié une note circulaire le 13 octobre 2023 adressée aux Directeurs départementaux des enseignements maternel et primaire, rappelant aux enseignants l’importance du respect des règles de déontologie vestimentaire.
Les Directeurs départementaux des enseignements maternel et primaire (Ddemp) ont été chargés de veiller à la diffusion de cette note dans l’ensemble du personnel enseignant et de s’assurer du respect de ces directives. Le ministre avait émis cette note après avoir observé, lors de ses visites officielles dans les écoles placées sous sa tutelle, notamment lors de la rentrée scolaire, que certains enseignants ne respectaient pas les normes en matière de tenue vestimentaire appropriée.



Il y a absolument avec les conditions de vie et de travail des enseignants au Bénin. En matière de santé, les enseignants agents de o’Etat ont une prise en charge qui ne rien en charge et qui n’existe que sur papier. Il y a plus de dix il n’y a plus eu bilan de santé pour les enseignants. Par le passé, il y avait un semblant de bilan sanitaire fait aux enseignants. Même si après l’Etat abandonné les enseignants porteurs de certains problèmes sanitaires. C’était déjà bien d’être diagnostiqué. Quitte à se débrouiller soi-même pour le traitement.
Les salaires sont maigres et la prise en charge est dérisoire alors que la pression est très forte à l’école. Conclusion l’enseignant claque fasse à tout ça.
Cette mort subite a absolument un lien avec les conditions de vie et de travail des enseignants au Bénin. En matière de santé, les enseignants agents de l’Etat ont une prise en charge qui ne prend pratiquement rien en charge qui n’existe donc que sur papier. Il y a plus de dix ans il n’y a plus eu bilan de santé pour les enseignants. Par le passé, il y avait un semblant de bilan sanitaire fait aux enseignants. Même si après l’Etat abandonne les enseignants porteurs de certains problèmes sanitaires à eux-mêmes pour la prise en charge des cas. C’était déjà bien d’être diagnostiqué. Quitte à se débrouiller soi-même pour le traitement.
Les salaires sont maigres et la prise en charge est dérisoire alors que la pression est très forte à l’école. Conclusion l’enseignant claque fasse à tout ça.
Cette mort subite est une conséquence des conditions de vie et de travail des enseignants de la maternelle, du primaire et du secondaire général, technique et professionnel.
Il y a absolument un lien avec les conditions de vie et de travail des enseignants au Bénin. En matière de santé, les enseignants agents de o’Etat ont une prise en charge qui ne rien en charge et qui n’existe que sur papier. Il y a plus de dix il n’y a plus eu bilan de santé pour les enseignants. Par le passé, il y avait un semblant de bilan sanitaire fait aux enseignants. Même si après l’Etat abandonné les enseignants porteurs de certains problèmes sanitaires. C’était déjà bien d’être diagnostiqué. Quitte à se débrouiller soi-même pour le traitement.
Les salaires sont maigres et la prise en charge est dérisoire alors que la pression est très forte à l’école. Conclusion l’enseignant claque fasse à tout ça.
Cette mort subite pourrait être la cause d’une crise cardiaque. Avez-vous les moyens pour les détecter après la mort?
D’après ce que vous écrivez, la mort subite pourrait être la cause d’une crise cardiaque?? Cela voudrait dire que l’intéressé est d’abord mort, puis la mort a causé une crise cardiaque.
Ceci me paraît très inhabituel.
Je suppose que vous aviez l’intention de dire que cette mort subite pourrait avoir pour cause une crise cardiaque?
Cela s’appelle un AVC. Pas rapport avec le Vodou.
Allez voir les conditions dans lesquelles, il a fêté avec sa petite famille. L’enseignement au Bénin doit être revu pour une meilleure prise en charge de ces acteurs
Foudroyé par les forces du vodoun..qu on veut promouvoir dans notre pays…
Pays d ign ares.. obscurantistes..sa taniques
Rien que du mauvais
Et on appelle.. ça un pays de culture..
Il faut.en finir..avec ces simagrées..sata niques….
Aux lances flammes.,…et les couvents..et les adeptes..m
Paix profonde à l’âme du défunt. Sincères condoléances à sa famille, ses collègues . Une cellule psychologique doit être mis en place pour soutenir les élèves .
Au-delà de ce drame humain ; c’est la récupération par une certaine pre. sse qui pose un problème fondamental deon.tologie. Comment peut-on faire le lien entre cet événement malheureux avec la situation des enseignants et une certaine note de service du ministère des enseignements ???
Comprenez donc que ces gens-là se cachent derrière la plume pour faire de la politique.
Honte à vous
L’universitaire Plombier
Il y a absolument avec les conditions de vie et de travail des enseignants au Bénin. En matière de santé, les enseignants agents de o’Etat ont une prise en charge qui ne rien en charge et qui n’existe que sur papier. Il y a plus de dix il n’y a plus eu bilan de santé pour les enseignants. Par le passé, il y avait un semblant de bilan sanitaire fait aux enseignants. Même si après l’Etat abandonné les enseignants porteurs de certains problèmes sanitaires. C’était déjà bien d’être diagnostiqué. Quitte à se débrouiller soi-même pour le traitement.
Les salaires sont maigres et la prise en charge est dérisoire alors que la pression est très forte à l’école. Conclusion l’enseignant claque fasse à tout ça.