Dans le tumulte politique qui a précédé l’élection présidentielle sénégalaise, les stratagèmes et les épreuves subies par l’opposition, notamment Ousmane Sonko et son candidat Bassirou Diomaye Faye, ont mis en lumière les profondes fissures au sein de la démocratie sénégalaise. Malgré les embûches, la victoire de l’opposition révèle un désir de changement et une résilience démocratique remarquable.
Ousmane Sonko, figure de proue de l’opposition, a été au centre de controverses judiciaires, notamment des accusations d’abus sexuels pour lesquelles il a été acquitté, et d’une condamnation ultérieure pour « corruption de la jeunesse », des charges que beaucoup considèrent comme une tentative de le marginaliser politiquement.
La condamnation de Sonko à deux ans de prison a déclenché des émeutes violentes, témoignant de la profonde division entre le gouvernement de Macky Sall et une partie significative de la population, notamment la jeunesse sénégalaise. Ces événements ont mis en évidence la pression croissante sur les opposants politiques et les restrictions imposées à la liberté d’expression sous le régime de Sall.
Peu avant l’élection, Sonko et Faye ont été libérés de prison, un geste qui a galvanisé l’opposition et a signalé un possible tournant dans le climat politique tendu du Sénégal. La libération a été interprétée comme une reconnaissance tacite par le régime de Sall de l’impopularité de sa stratégie de répression et une tentative de désamorcer la situation explosive. La campagne électorale de Faye, soutenue par Sonko, a capitalisé sur un désir généralisé de réforme et de transparence.
Promettant de lutter contre la corruption et de renégocier les contrats miniers et énergétiques du pays, Faye a également plaidé pour un changement dans les relations avec l’ancienne puissance coloniale, la France, et une attention accrue à la jeunesse sans emploi du pays. La victoire de l’opposition malgré les tentatives de Sall de miner ses adversaires montre un désir de changement démocratique et un rejet de la politique de répression.
Le climat politique avant l’élection a été marqué par une répression sévère contre les critiques du gouvernement, les médias et les manifestants. Les journalistes et les opposants politiques ont fait face à des arrestations arbitraires et à des intimidations, mettant en évidence les tentatives de museler la dissidence. Cette période a également été caractérisée par des restrictions sur l’accès à Internet et aux réseaux sociaux, entravant la libre circulation des informations et la capacité de l’opposition à mobiliser le soutien.
La victoire de l’opposition dans ce contexte n’est pas seulement une rebuffade à Sall et à Ba, mais aussi un signal fort de la part du peuple sénégalais en faveur de la démocratie, de la justice et de la liberté d’expression. Elle représente une victoire significative pour ceux qui ont été réprimés et un message d’espoir pour l’avenir de la démocratie sénégalaise.
Macky Sall vient de sortir par la petite porte. Comme cela a pu être possible ? Il y a 12 ans les Sénégalais l’ont élu avec enthousiasme. Qu’est-ce qui s’est passé pour qu’il puisse perdre ce capital, ce prestige et la sympathie du plus grand nombre de ses compatriotes en si peu de temps ? Certains diront qu’il n’a pas pu satisfaire les immenses attentes de son peuple. Et il est vrai qu’aucun Président ne pourra jamais satisfaire à 100 % les aspirations du plus grand nombre. Cependant, fallait-il donner libre cours aux assassinats politiques, aux massacres des populations, aux accusations fantaisistes fallacieuses pour condamner et emprisonner afin d’intimider et justifier un pouvoir en dérive ? Allant même jusqu’à emprisonner injustement un adversaire politique, qui quittât sa cellule dans la prison, pour devenir à son tour Président de la République et s’installer au palais. Vraiment nous sommes en Afrique noire et tout près des êtres mystérieux.
L’heure de la vraie indépendance et de la souveraineté a sonné en Afrique et va désormais emporter tous les chefs d’État néo colonises qui sont ennemis de l’Afrique et qui travaillent contre le peuple africain. talon et les autres attendent leurs tours
Forcément
Macky à 20 ans de plus que Diomaye.
Le régime de l apartheid..ses brutalités..ont fait de mandela.ce qu il fut
Macky Sall..par la persécution.qu il a fait subir à sonko…a fait de lui..le chouchou des Sénégalais…et ils doivent maintenant rendre des comptes
Rekia et aivo.. subissent.leur croix.. avant le Graal
Le Bénin, tout comme le reste du continent à besoin de jeunes leaders conscients.
Dakar va devenir siège de la filouterie.
Doss le perdu, ira s’y installer avec son alter égo Tchité
Le peuple a gagné- la démocratie.
Quel peuple a gagné pour quelle démocratie??? Sonko a empêché maky sall d’avoir un 3ieme mandat, et maky sall a empêché sonko d’être président…puis un 3ieme larron appelé faye…Attendons ce que ça donne lorsque un président devient vice-président et un vice-président….président
Quel peuple a gagné pour quelle démocratie???
Le peuple de Kemi Séba et Son
Diomaye est issue de la notoriété de Sonko, pour qui rien n’est encore perdu.
Le futur s’annonce un peu sombre pour le Sénégal. Déjà l’opposition au pouvoir annonce des révisions des contrats signés avec la France. Pourquoi cette soudaine vault-face au lendemain des scrutins? Est-ce que l’opposition réussira où Macky a échoué? Dans le cas où l’opposition au pouvoir ne pourra pas mener de tangibles résultats au Sénégal, elle finira pas détruire, et la démocratie subira peut-être un coup dur quand l’espoir finit par un cauchemar. Louons Dieu que l’opposition réussisse là Macky Sall a échoué.
Que les sénégalais aillent demander aux tunisiens avec le Kaïd Saëd le sage
SALL est à crucifier !? Soit, il a eu des envies de dictateur vers sa fin de règne. De très jeunes sénégalais sont morts. DIEU l’a oint au dernier moment et il a repris conscience. Remercions DIEU car si SALL avait tenu bon et mordicus comme d’autres l’ont fait, on ne serait pas à ça aujourd’hui au SÉNÉGAL. Nul n’est parfait. Il a eu la peur de voir bouleversé tout ce qu’il a fait pendant son règne. C’est humain. Il s’y est mal pris, ça peut arriver. L’exemple béninois est là sous nos yeux. Lâchons-le un peu. Pour que la paix revienne enfin au SÉNÉGAL.
SALL est aussi acteur très important de cette détente sociale en cours au SENEGAL. Laissons-le quitter tranquillement le pouvoir et remercions DIEU. On a tous des parents au SÉNÉGAL qu’on ne veut pas voir revenir avec bagages augmenter la misère au BENIN.
Voilà ce qui va se passer…au Sénégal
1 victoire de sonko par procuration
2 législatives anticipées.. modification de la constitution..avec instauration du poste de vice-président
3 diomaye démissionné pour confier la présidence à sonko
« Ce n’est pas un rituel macabre » seulement au Sénégal mais dans tout le giron français en Afrique de l’Ouest : En Côte d’Ivoire, plus de 3000 morts occasionnés par Ouattara et Guillaume Soro pour hisser Ouattara au pouvoir et plus tard encore des milliers de mort après le coup d’État institutionnel qui a maintenu Ouattara au pouvoir. En Guinée, l’armée nationale a enfermé toute une population dans un terrain des sports pour massacrer des milliers de vies humaines et violer des femmes en cascade en plein jour. Au Mali, au Burkina Fasso et au Niger des milliers de gens sont quotidiennement massacrés sous les gouvernements civils avant la prise du pouvoir par les militaires dans ces trois pays. Au Bénin les populations sont massacrées à Cadjèhoun, à Bantè, à Savè, à Kilibo par l’armée et la police fait régulièrement des exécutions sommaires sans qu’il y ait enquête judiciaire. Tout cela pour maintenir talon au pouvoir. C’est cela la réalité des faits dans les pays francophones d’Afrique de l’Ouest.
@Napoléon, tant que les panafricons et toi voudrez absolument emmener le continent vivre dans une Afrique irréelle, celle de votre complotisme, les choses ne changeront pas.
Ce n’est même plus tenable vos délires stupides de « France, » à tout propos.
Le problème est africain et les solutions aussi.
Putschs au Sahel, incarcérations des membres de la société civile, massacre des villageois par l’armée, appuyée par l’afrika korp (Wagner),
Libéria, Soudan, dérives autoritaires au ZImbabwe, en Afrique du Sud, en Ouganda,…
incurie de l’armée nigériane face au terrorisme depuis des années, c’est la France aussi ?
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(@_@)
Bonjour Papy Napoléon, double visage , rentre au village chez toi à Kilibo, sur la colline du Lion.
ça te dit quelque chose cette colline?
Attendons voir…. j’espère que leur libération au dernier moment ne résulte pas d’un deal avec Macky et ses maîtres occidentaux…
Faut aussi vérifier si Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye ne sont pas des franc-maçons….si c’est le cas, on n’est pas encore sorti de l’auberge.
Pa si idiot que ça. S’ils sont franc-maçon, rien de bon à attendre. C’est justement l’adhésion à cette organisation qui nous avait fait perdre un certain Djog autrefois humble et crédible.
Djog???
Le cas sénégalais est édifiant à plus d’un titre. Nous avons eu une dérive autoritaire qui a ébranlé les fondements de la démocratie et de l’Etat de droit comme il est enseigné partout dans le monde.
Puis une prise de conscience de l’apprenti dictateur après avoir échoué à manipuler les institutions démocratiques et surtout à mettre à l’épreuve la probité et l’impartialité du conseil constitutionnel du Sénégal.
C’est le lieu de rendre un vibrant hommage aux membres du conseil constitutionnel du Sénégal qui ont eu à sauver l’honneur de tous les démocrates africains.
Macky Sall doit passer devant la haute cour de justice du Sénégal, il y a des choses qu’il ne faut pas banaliser.
Le Sénégal aujourd’hui est le pays qui doit nous servir de boussole. Les tueries, les arrestations arbitraires, les violations de la légalité etc…. sont des choses à ne jamais laisser sans une réponse judiciaire.
Toute l’Afrique combattante a les yeux tournés vers SONKO et son président. Ils n’ont pas le droit de nous décevoir.
Aussi la question ici à mon avis ne sera pas de rompre la France par exemple, comme font les putschistes du Sahel. Le Sénégal est une démocratie, elle doit rester une démocratie.
Il s’agira de renégocier avec fermeté mais aussi avec un esprit de partenariat tous les accords déséquilibrés y compris les accords sur le CFA de Ouattara et Macron.
Le Sénégal deuxième puissance économique de l’UEMOA peut peser gros, avec le soutien du Mali, du Niger et du Burkina, la Côte d’Ivoire seule ne comptera que pour du beurre.
Promettant de lutter contre la corruption et de renégocier les contrats miniers et énergétiques du pays, Faye…….demande à Gbagbo…RIEN de RIEN
Pourquoi @_@.. limites cet état de choses.au Sénégal seulement..
Tu choisis volontairement..d oublier.la côte d ivoire..le Bénin..la Guinée..hein..
La moralité de tout ça..c est que l africain…n est pas mentalement prêt..pour la démocratie….
Nous devons réfléchir..par nous même..partout en Afrique..pour trouver un système..qui correspond.. à ce que nous sommes..
La démocratie libérale occidentale…ne nous convient pas
AZIZ lâche nous les baskets
« Macky Sall a joué, Amadou Ba a perdu »
Amadou BA a gagné en dignité. De jeunes sénégalais ont eu perdu la vie.
Quant à Macky SALL : il aura fallu des morts pour qu’il accepte de lâcher prise. ça devient un rituel macabre au Sénégal.
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(@_@)
ont eux perdu la vie