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1,7 milliard FCFA volés à Bénin Terminal : Ce qu’il faut retenir du procès

La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) se penche depuis un moment sur le dossier relatif au vol de 1,7 milliard de FCFA à la société Bénin Terminal. Ce lundi 8 avril, la juridiction en charge des infractions économiques a reçu les différents mis en cause dans cette affaire. Il s’agit en réalité du comptable général de Bénin Terminal et de trois de ses collaborateurs.

Si le comptable, le principal accusé, a été mis sous mandat de dépôt, les trois autres sont juste sous convocation. La justice poursuit le principal mis en cause pour « abus de confiance ». Les autres quant à eux sont poursuivis pour  « complicité d’abus de confiance ». Mais, ces agents de Bénin Terminal ne reconnaissent pas les faits qui leur sont reprochés. Ils ont plaidé non coupable et ont rejeté les chefs d’accusation.

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Les accusés auraient gardé les frais de certaines opérations de sortie de conteneurs. Le montant de 1,7 milliard de FCFA aurait été volé dans la période allant de 2019 à 2023. Pour l’heure, le procès a été renvoyé au 10 juin 2024. À cette date, la présence d directeur administratif et financier (Daf) de Bénin Terminal a été souhaitée pour certains éclaircissements. L’affaire n’aura donc pas encore livré tous ses secrets.

3 réponses

  1. Avatar de Gbanzan
    Gbanzan

    Rien de grave, c’est courant ça! c’est petit , régulièrement c’est 3 milliards la semaine!

    1. Avatar de Joeleplombier
      Joeleplombier

      Vous en savez vraiment quelque chose. Tenez l’opinion nationale au courant si vous avez des preuves de vos allégations.
      Je passais
      Le Plombier universitaire

  2. Avatar de Joeleplombier
    Joeleplombier

    Il y a des choses qui se passent dans ce pays. La Criet ne fait plus peur à nos compatriotes ni la prison . Comment peut-on soustraire plus d’un milliard et demi des caisses de l’Etat pendant une si longue période sans que personne ne s’en aperçoive ?? Cette affaire a des ramifications au-delà des accusés à mon entendement. Comme le dit si bien notre compatriote Bertin Koovi alias Chabi Oure Boukounkpin ; la peine de mort doit être requise pour dissuader les acteurs et complices de ses faits .
    Je passais
    Le Plombier universitaire

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