Sénégal : l’anecdote surprenante sur un des ministres de Faye

Bassirou Diomaye Faye (DR)

Durant les cinq prochaines années à venir, Bassirou Diomaye Faye va présider à la destinée du peuple sénégalais. Il faut dire que les choses sont allés très vite pour le cadre du PASTEF. Après sa prestation de serment, l’ancien agent des impôts a vite fait de nommer Ousmane Sonko au poste de Premier ministre. L’équipe gouvernementale a été mise en place et elle va s’atteler à répondre aux différentes préoccupations de la population.

À quelques exceptions près, la plupart des nouveaux ministres sont des visages inconnus du grand public. Le poste de ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, est revenu à monsieur El Malick Ndiaye. Le secrétaire national à la communication au sein du PASTEF est titulaire d’un diplôme en management, commerce international, transport et logistique.

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Le jeune ministre ne sort pas de nulle part. Malgré son jeune âge, il a eu le temps de faire ses armes au sein du paysage politique sénégalais. Tout récemment, nos confrères de la Source A ont livré une anecdote sur le nouveau ministre des Infrastructures et des Transports. En effet, son nom a une histoire que Source A a résumé en ces termes :

« Son père avait l’ambition de lui donner le nom de son frère, El Hadji Mor Ndiaye Mais puisque ce dernier n’avait pas d’enfant et rêvait de pouvoir donner le nom de son fils au très vénéré El Hadji Malick Sy de la confrérie tidiane, le père du nouveau ministre a fini par le baptiser El Malick Ndiaye ».

Cette anecdote va contribuer à écrire la légende d’El Hadji Malick Sy dans le gouvernement. Lorsque le PASTEF traversait de fortes zones de turbulence, Malick Ndiaye et plusieurs de ses camarades se sont mobilisés pour maintenir à flot le parti. C’est l’une des grandes réussites du PASTEF, qui en seulement une dizaine d’années d’existence a mis en place un organigramme ultra-coordonné avec des cadres très compétents. Un écosystème optimal a été créé pour permettre au PASTEF de traverser toutes les crises. Aujourd’hui, le parti est face à l’exercice de la gestion du pouvoir.

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