Neuralink: le 1er cobaye d’Elon Musk avoue avoir pleuré, voici pourquoi

Elon Musk (Allison Robbert/Reuters)

Il y a quelques jours, les médias du monde entier révélait que le premier patient ayant reçu un implant Neuralink a connu de belles frayeurs. La raison ? Les fils de l’implant se seraient rétractés. Si le problème était bien connu en interne, pour le grand public, ça a été une véritable surprise !

Pour Noland Arbaugh, c’est la même chose. En effet, ce dernier a bien cru perdre le contrôle de son implant cérébral. Il faut dire que celui-ci lui permet de gérer, à distance, un curseur ou des jeux vidéo. Plusieurs vidéos largement diffusées sur internet l’ont d’ailleurs montré en train de jouer à Mario Kart ou encore aux échecs. Naturellement, ces images ont suscité l’admiration, tant elles étaient encore inimaginables il y a quelques années.

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Un implant Neuralink qui fait des siennes

Âgé de 29 ans, ce Texan d’origine, quadriplégique depuis un accident de plongée, pensait ainsi pouvoir revivre une vie plus “normale”. Mais qu’elle ne fut pas sa surprise de voir que, peu à peu, son implant répondait de moins en moins bien ? S’il a admis avoir pleuré, estimant “que son voyage prenait fin” (entendez par là, que sa période de joie quant à ces nouvelles possibilités était passée).

Mais côté Neuralink, une mise à jour de l’algorithme a été effectuée, ce qui lui a permis de retrouver l’ensemble de ses moyens, quelques heures après le déclenchement de la procédure. Un vrai moment de plaisir pour lui, qui assure ne plus pouvoir s’arrêter de vivre avec ce petit outil implanté dans son cerveau. D’ailleurs, il espère bien que sa contribution ne s’arrêtera pas là.

Une version 2.0 de l’implant initial, annoncée

En effet, le jeune homme, qui travaille à hauteur de 35 heures par semaine avec les chercheurs de Neuralink, en leur fournissant de très nombreuses données sur ses réactions physionomiques et biologiques, a confirmé qu’il faisait partie de la liste d’attente pour la version 2.0 de l’implant. Un implant plus puissant encore qui, de l’aveu même d’Elon Musk, pourrait cette fois-ci permettre de contrôle un smartphone avec sa pensée.

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