Le concubinage, souvent mal compris et varié dans sa définition selon les cultures, désigne une union de fait entre deux personnes qui vivent ensemble comme un couple marié, sans être liées par un mariage civil ou religieux. Bien que largement répandu dans de nombreuses sociétés, il est perçu différemment d’un pays à l’autre. Au Burundi, le concubinage est actuellement au cœur d’une controverse notable, les autorités le considérant comme un obstacle au développement social et moral du pays.
Depuis le début de l’année, une campagne spécifique contre le concubinage a été intensifiée dans la province de Ngozi, au nord du Burundi. Cette initiative, pilotée par le gouverneur local, a abouti à l’expulsion de 900 femmes vivant en union libre jusqu’à la fin avril. Le gouverneur de Ngozi a exprimé une satisfaction mesurée, indiquant que bien que l’objectif n’ait été atteint qu’à environ 85%, les efforts se poursuivront.
L’un des impacts les plus déchirants de cette politique est le nombre élevé d’enfants affectés. Environ 3600 enfants issus de ces unions non officielles sont confrontés à des défis majeurs, notamment en termes d’accès à l’éducation. Le risque est grand de voir ces jeunes devenir des laissés-pour-compte de la société, une situation que le gouverneur décrit comme une « bombe à retardement » si aucune mesure corrective n’est mise en place.
Les conséquences de ces expulsions ne se limitent pas aux aspects logistiques ou statistiques. Elles entraînent une précarité et une instabilité pour les femmes concernées. De nombreuses expulsées se retrouvent sans foyer, rejetées par leur famille élargie, souvent parce que les parents sont décédés ou que les frères et sœurs refusent de les accueillir.
La mesure imposée par les autorités stipule également que les hommes doivent retourner vivre avec leur première épouse officielle. Cette directive, bien qu’intentionnée pour rétablir l’ordre familial traditionnel, soulève des problèmes complexes, notamment en cas de refus ou d’incapacité de réintégration des femmes chez leurs parents.
Face à la résistance et aux cas complexes, comme ceux des unions de longue date ou des mariages impliquant des membres de la communauté musulmane, le gouverneur a adopté une position ferme. Tout homme vivant en concubinage sera désormais considéré comme criminel si la situation est découverte. Cette politique rigoureuse souligne la détermination des autorités à modeler les structures familiales selon des normes perçues comme idéales, mais elle soulève également d’importantes questions sur les droits individuels et la justice sociale.

Le concubinage c’est mauvais, c’est démoniaque, chaque homme et femme peu importe son rang social, doit avoir une seule femme, un seul mari, sinon, on ouvre la porte à tous les maux dans la société. Le mariage est une institution Divine et il faut suivre les règles qui le régit. Dieu a donné UN REMÈDE pour qu’on se marie bien, mais le diable s’est infiltré et à mis le chaos, le concubinage, la polygamie.
Que la population burundaise se lève comme un seul homme pour chasser ce Évariste Ndayishimiye, un bonbon pasteur , sous l’emprise banamèsque
et sorcelleresque de son épouse Angeline Ndayubaha Ndayishimiye,
l’emprise banamèsque c-a d de Banamè de parfaite 😃😁🤣!!
Le gouvernement devrait d’abord trouver une solution pour les femmes et les enfants qui sont les plus fragiles avant de mettre en oeuvre cette politique. Que vont devenir ces personnes ? Le problème a été pris à l’ envers, hélas😡
Ka pauvreté chronique à pris par là. Il faut attaquer le mal à sa racine.