Après la relaxe des deux premiers Nigériens, suite à leur audition par le Parquet spécial de la Criet, les trois autres mis sous mandat de dépôt et condamnés après le procès à 18 mois de prison assortis de sursis sont autorisés à rentrer chez eux. En d’autres termes, ils sont libres après tout le tapage qui a entouré cette affaire. Du coup, on se demande si le Bénin a enfin décidé de parler le bon langage diplomatique dans le différend qui l’oppose au Niger sur le pipeline.
Le procès des trois Nigériens interpellés à Sèmè-Podji le 5 juin dernier et mis sous mandat de dépôt dans l’affaire dite d’introduction frauduleuse sur le terminal de Sèmè a eu lieu ce lundi 17 juin à Cotonou. La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) a condamné la Directrice générale adjointe de Wapco Niger et ses deux compatriotes à 18 mois d’emprisonnement avec sursis. L’infraction constituée est « usurpation de titre et usage de données informatiques falsifiées ».
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