Dans la matinée du jeudi 11 juillet 2024, sur le tronçon Sota-Tovè dans la commune de Dangbo, département de l’Ouémé, un corps en putréfaction a été retrouvé. Alertés, les éléments de la police républicaine des commissariats de Hêtin- Houédomey se sont rendus sur les lieux pour le constat d’usage. Une enquête a été ouverte pour élucider ce drame.
Un mois plus tôt, lundi 10 juin 2024, une dépouille en état de décomposition avancée a été découverte dans le village de Zotogou, situé dans l’arrondissement de Glo-Djigbé, commune d’Abomey-Calavi. Il s’agit du corps d’un jeune homme retrouvé dans une brousse. Comme dans le cas de Dangbo, l’état de putréfaction avancé n’a pas permis de reconnaître l’identité du défunt. Les circonstances de son décès demeurent un mystère. Les éléments de la police républicaine sont intervenus pour le constat.
Ces deux premières découvertes macabres sont loin d’être les seules enregistrées au Bénin en 2024. À travers un communiqué en date du 24 mai 2024, la mairie de Savalou a annoncé la découverte d’un corps en état de putréfaction à Logozohè. Les autorités communales avaient invité les personnes ayant constaté la disparition d’un parent à se manifester.
Le samedi 02 mars 2024 à Tchito, dans la commune de Lalo, le corps sans vie d’une femme a été retrouvé dans un champ. Ayant quitté son domicile dans l’après-midi du vendredi 1ᵉʳ mars 2024 pour se rendre au champ afin de mener comme à l’accoutumée ses activités de fabrication de charbon, la disparue ne s’est pas retournée à la maison.
En février 2024, le corps en décomposition d’un homme a été découvert dans l’arrondissement de Tangbo-Djèvié, dans la commune de Zè. D’après les témoignages, la victime aurait été aperçue en vie quatre jours avant la découverte.
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