Certaines usines qui officient au Maghreb, ne devraient pas. En effet, certains groupes officient de manière totalement illégale. Et face aux risques que cela représente pour les travailleurs, les consommateurs et l’État, les gouvernements ont décidé de réagir, avec fermeté.
Au Maghreb, certaines usines clandestines pullulent. Ces dernières participent ainsi au développement d’une économie souterraine coûtant potentiellement beaucoup d’argent aux pouvoirs publics, tout en présentant des risques pour les travailleurs. C’est notamment le cas au Maroc. À ce titre, les autorités ont décidé de prendre une série de mesures afin d’éviter que ces dernières ne se développent.
Le Maroc s’en prend aux usines illégales
En effet, dans la région de Casablance-Settat, l’exécutif a invité plusieurs usines et travailleurs à fournir des informations concernant le statut légal des entreprises. Certaines sont soupçonnées de mener des activités illégales, qui peuvent même s’avérer dangereuses pour la santé des travailleurs. C’est notamment le cas dans les usines de production de produits de nettoyage.
In fine, il a été découvert que certaines personnes exploitent effectivement leurs propres terres… Sans qu’elles fassent partie des zones industrielles ou d’activités commerciales qui sont autorisées par le gouvernement. Selon les responsables de la préfecture locale, un grand nombre d’usines seraient concernées (sans toutefois dévoiler le chiffre exact). Des sanctions seront donc bientôt prises à leur encontre.
Des usines qui vont bientôt fermer
D’autres groupes, spécialisés cette fois-ci dans la fabrication de produits alimentaires, sont également concernés. Menaçant la santé environnementale, mais aussi des consommateurs, ces usines qui ne le sont que par leur nom devraient rapidement être fermées. Une bien mauvaise presse pour l’économie marocaine, mais ces travaux s’expliquent par la restructuration actuelle de l’économie nationale, de façon à la rendre plus prospère.
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