Le Sahara est un immense désert. Mais certains pays espèrent pouvoir maîtriser les sols, pour en faire des terres cultivables. Un projet d’apparence surprenante, mais qui a été particulièrement bien réfléchi. À terme, ce sont près de 500.000 hectares qui pourraient permettre de cultiver des légumes.
Le pays derrière ce projet, c’est l’Algérie. En effet, le gouvernement envisage de verdir une belle partie de son Sahara pour en faire une terre cultivable. Pourraient y pousser, du blé dur, des légumes secs ou encore des graines oléagineuses. L’objectif annoncé par le ministre de l’Agriculture et du Développement agricole, Youcef Chorfa, est d’arriver à l’autosuffisance en la matière.
500.000 hectares bientôt transformés ?
Pour arriver à mener à bien un tel projet, l’Algérie a confirmé qu’elle allait collaborer avec l’Italie et le Qatar. Plusieurs entreprises issues des deux pays ont annoncé qu’elles allaient effectivement investir et travailler pour permettre à Alger d’atteindre son objectif. Bonifiche Ferraresi a par exemple indiqué qu’elle détenait désormais 36.000 hectares de surface et qu’une partie des récoltes alimentera le marché italien.
Côté Qatar, c’est Baladna qui sera présente sur place. Le géant qatari a investi, avec le FNI qatari (Fonds national d’investissement) dans une grande ferme de 270.000 hectares, qui permettra de produire du fourrage pour le bétail, mais aussi de la poudre de lait. En outre, le gouvernement qatari va aussi planter du blé dans ce désert du Sahara. Un partenariat pluriel, donc.
Des terres, mais aussi des silos de stockage
En termes de délais, l’Algérie a confirmé, toujours par la voix du ministre de l’Agriculture, qu’elle se donnait trois ans au total, pour réussir cette opération de transition sable – espace cultivable. Un grand silo de stockage de blé pouvant accueillir un million de tonnes a aussi été annoncé pour gérer au mieux les récoltes, portant ainsi ses capacités de stockage à 5 millions de tonnes au total.




Le pays des chouhadas est béni par allah
attendons d’acquérir l’expérience avec ces étrangers. Après les algériens prendront le relais. Ns avons bkp d’argent, un très vaste territoire et une gde réservé d’eau.
Kadhafi avait entrepris un projet similaire mais sans le concours financier de parties étrangères….
les Coréens avaient assuré le côté technique
la question : est ce que l’Algérie n’a pas la capacité financière pour assurer d’elle même la réalisation de ce projet ?
je remercie le seigneur d’avoir donné tant de richesses au pays des martyrs
es ce le quatar detient une connaissance meilleur que la chine?dans le domaine de l’agrodesert je doute beaucoup.leur investissement est un poison a long terme.pourquoi ne pas collaborer avec citoyens le savoir faire et le financement de sonatrach. beaucoup de citoyen souhaitent investire sans reste sans reponse a ce jour.deux difficultees majeur d’avoir des surfaces agricole et difficultees d’acceder au credit ou souvent l’etude d’undossier dure une annee.
en espérant que c’est projet aboutisse inchallah Allah
bonjour bonne continuation in challah dieu nous protège c’est le moment de travailler le Sahara algérien puisque y’a de l’eau merci Bon dieu on avant c’est le 🌟🌟🌟🌟🌟 moment de se réveiller a la prochaine fois
La nappe albienne sous le desert algerien renferme 50 mille milliards de m3 soit 50 mille l équivalent du plus grand barrage d Algérie Beni Haroun. Si on exploitait juste 10% on aurait 5 milles milliards de m3 d eau disponible ce qui suffirait à la consommation nationale et l irrigation deq centaines d années. Même pour dessaler l eau saumâtre le solaire et le gaz naturel à profusion sont disponible pour l électrolyse. L Algérie est un pays beni du Bon Dieu.
Un grand pays, de grands projets quoi de mieux pour une population qui attend beaucoup de ce genre de projets.
Le Sahara reste une reserve alimentaire sans limite, puisque l’ energie solaire y est presente.