Un drame dont l’armée algérienne se serait probablement bien passée. En effet, jeudi 25 juillet, aux alentours de 12h, les locaux ont commencé à entendre une série de tirs nourris. De quoi semer la panique, aussi bien chez les habitants que les passants et les forces armées implantées sur place.
Il s’est finalement avéré que ces tirs étaient l’œuvre d’un soldat. Ce dernier, victime d’une crise psychologique des plus sévères a effectivement ouvert le feu, touchant ses collègues. Il prendra ensuite la fuite, dans la rue, semant encore un peu plus le trouble dans la région. Un accident sans précédent, qui a bien failli devenir plus tragique encore, à cause d’un dénouement terrible.
Un militaire ouvre le feu sur ses collègues
En effet, ce dernier, une fois dans la rue, a continué à tirer de manière tout à fait aléatoire. Sur place, les résidents et passants ont évoqué des cris et des scènes de chaos, tous tentant de se cacher, de se mettre à l’abri, pour éviter de rejoindre la liste des éventuelles victimes. Une situation exceptionnelle, qui a poussé les forces de sécurité à vite réagir, ouvrant un dispositif de sécurité.
Sur place, armée, gendarmerie et police nationale se sont rendues sur place pour sécuriser la zone et enfin, neutraliser la menace que représentait l’homme. L’individu a d’ailleurs été appréhendé quelques dizaines de minutes plus tard. Le premier bilan, qui n’est pas encore officiel, notons-le, faisait était de plusieurs blessés. Trois personnes auraient également trouvé la mort.
3 victimes seraient à déplorer
Une enquête a été ouverte par les forces de l’ordre. L’objectif est de comprendre ce qui s’est passé et surtout, comment un militaire, visiblement malade, a pu rejoindre les rangs de l’armée et surtout, avoir accès en pleine crise, à des armes et des munitions. De quoi apporter des réponses aux membres des familles touchées par un drame que personne n’avait vraiment anticipé.
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