Maghreb : calvaire estival à une frontière pour les résidents à l'étranger de ce pays

Pour certains MRE (Marocains Résidant à l’Étranger), le retour au Maroc tourne parfois au cauchemar, surtout à la frontière de Melilla. Les vacances estivales se transforment en épreuve avec des scènes de files d’attente interminables, des voyageurs exaspérés et des enfants en pleurs. Cette situation chaotique découle des nouvelles procédures de contrôle mises en place par les autorités espagnoles, censées améliorer la fluidité du trafic mais qui, ironiquement, l’entravent davantage.

Les dispositifs technologiques supposés simplifier le passage des frontières semblent dépasser les agents de sécurité, peu familiers avec ces technologies. Le résultat est une augmentation significative des délais d’attente, parfois étirés sur plusieurs heures. Cette frustration est d’autant plus aigüe que d’autres points de passage entre le Maroc et l’Espagne, comme les ports de Tanger Med ou d’Algésiras, fonctionnent normalement, accentuant ainsi la détresse des voyageurs confrontés à Melilla.

Outre les problèmes techniques, les contrôles rigoureux des véhicules par les autorités espagnoles contribuent également à ralentir le flux. Motivés par la prévention de l’introduction illégale de produits alimentaires sur leur territoire, les douaniers inspectent méticuleusement chaque voiture, provoquant la colère et l’impatience parmi les voyageurs.

Face à ces défis, de nombreux Marocains résidant à l’étranger choisissent désormais de contourner le poste-frontière de Melilla, optant pour des routes alternatives moins encombrées.

15 réflexions au sujet de “Maghreb : calvaire estival à une frontière pour les résidents à l'étranger de ce pays”

  1. Qui choisit la forme de tourchon de guerre polisario ? C’est ceux qui rêvent de remplacement des colonies occidentaux ,(France-Afrique ou Afrique -france ) l’indépendance sans les vrais revrains est incompatible surtout quant aux Fontiers par les airs. Alors soyez sage avec (la Monarchie Du MAGHREBE des SHLOUH ! !!!!)Dostoria-El-Hikmaa de plusieurs siècles. Tachao-Les pantin.

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  2. Rendre aux Sahraouis leur terre occupé par Israel bis( al Marok) comme ça, il n’y aura pas de camps à Tindouf ou ailleurs. Au lieu de libérer vos terres occupées par les Espagnoles, les marokis sont allés occupés la terre du peuple Sahraoui qui n’a jamais fait partie du royaume du baismain.

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  3. le marroki n’est pas un homme, c’est juste une espèce au service de ses maîtres, le maroki est un lâche, il ne peut se révolter, esclave né pour mourir…

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  4. Polution de la politique même l’ensemble de leur équipe est contaminé footpoLisa Rio, les champs de p-g Perdu depuis 76 plus une génération des gents intelligent
    Acose de leurs générauX???

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  5. Je suis de cette région exactement ZAIO, se sont les autorités marocaines qui compliquent les entrés et les sorties de MELILLA.
    Pour forcer les habitants de cette région de prendre des bateaux marocains vétustes, sales, mal équipés et deux à trois fois plus chers que les bateaux Espagnols de MELILLA.
    Cela m’a été dit par un officier de la douane marocaine ouvertement, pour étrangler MELILLA.

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  6. Pourquoi vous pensez que les zgents aux frontières ne sont pas formés aux nouvelles technologies, vous pensez que les Marocains sont encore à l’âge de pierre.Quant a ceux qui parlent de libérer des territoires qu’ils libèrent d’abord le leur parcequ’ils sont occupés par la rasd.De plus je ne vois pas ce que le terme musulman vient faire ici

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  7. Polisario qu’el est la référence
    Avec le Maghrebe et depuis quand ce dernier exercice à sa défense malgré les fractions au nom du pople vivre les SHLOUH wa raz-Aljal !

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  8. les espagnoles vous colonisent et vous les tourner le dos. laisser les sahraouis leurs ahindépendances c est des musulmans mais vous aller le

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  9. Seule et uniques solution, que le Maroc demande a recuperer ces villes de Ceuta et Mellila. Il ne suffit donc pas de coloniser le Sud ( Sahara occidental) et d’arborer le tableau d’un viol sur son maillot, mais etre des HOMMES pour recuperer les deux villes espagnoles sur ses terres.

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