En France, la situation des travailleurs étrangers sans papiers est souvent très complexe. Et aujourd’hui, alors que le gouvernement a décidé d’opérer une transition numérique assez rapide du processus (ce qui implique quelques changements et latences, le temps que tout se mette en place), les demandeurs font désormais face à un autre problème : le manque de personnel.
De fait, le manque de personnel implique un rallongement assez important des délais de traitement. Aujourd’hui, la préfecture semble d’ailleurs privilégier les dossiers en cours, mettant de côté les nouvelles demandes. De quoi agacer certaines des personnes concernées qui bien qu’elles disposent d’un contrat, travaillent et paient des impôts, se retrouvent dans une forme d’illégalité qui n’est pas simple à gérer.
L’administration française, face à un défi de taille
Face à une telle situation de blocage, une manifestation a d’ailleurs éclaté à Paris, à laquelle des travailleurs étrangers ont participé, sur initiation de l’association « Droits devant« . Une situation qui agace aussi les entreprises et les syndicats, notamment de la CGT (Confédération générale du travail), pour qui des milliers de dossiers sont actuellement bloqués ou devraient l’être.
La préfecture de police de Paris est même accusée de privilégier les dossiers de personnes qui ont déjà un parcours d’intégration confirmé en France. Cela veut dire qu’une personne qui a déposé sa demande il y a plusieurs mois, pour la toute première fois, pourrait voir le traitement de son dossier être tout aussi ralenti que celui d’une personne dans la même situation, qui vient d’effectuer sa demande.
Un manque de personnel important, pour de graves retards
Des accusations que l’administration récuse, même si elle reconnaît bien volontiers qu’elle manque de personnel. En effet, de nombreux postes sont vacants. Manque d’attractivité, besoin de passer un concours… L’administration fait aujourd’hui face à un vrai besoin de renouveau si elle souhaite se montrer à la hauteur des défis et des enjeux qui se présentent désormais à elle.




vous avez raison. il faut bien choisir,qui besoin et n’ est pas besoin.
tous les enfants de migrants son affectés exprès dans les lycées professionnels pour les limiter à de petits métiers
pour une demande de titre de sejour ils gardent le dossier jusqua peremption des documents apres on vous demande de renouveller le dossier . une administration au meme niveau que l administration d AFGHANISTAN….
je me demande pourquoi accepter un visa long sejour pour apres bloquer un titre de sejour bizzzzzare ce pays qu on croyait une puissance mondiale.
la france se dégrade de plus en plus et vite.
la france rejoindra bientot les pays du tiers monde(sous developpees).
la france doit envoyer ses agents pour faire des stages de bureaucraties en afrique.
bonjour
vu les commentaires ci dessus
normalement un pays qui nous accueille ne dois pas être critiqué
par des insultes
Qu’ils aillent dans leurs pays ! la France ne peut nourir tous les miséreux du monde.
ils sont la pour netoyer vos saletes
vous avez raison. il faut bien choisir,qui besoin et n’ est pas besoin.
Quoi? Des étrangers qui peuvent manifester leur mécontentement en France, alors que si certains le faisaient dans leur propre pays, ils iraient directement en prison. Et pendant ce temps, d’autres critiquent sur les réseaux sociaux…
France de merde et de rat qu’ils vont ce faire foutre
Le vrai visage de la France se dessine inéluctablement face à tous ces étrangers qui ont souhaité vivre en ce pays. La France ne fait rien pour , alors comprendre par là c’est un refus à visage caché. Mais dites , alors,non à cette France hypocrite.
avant de vouloir vivre dans un pays, il faut s’interroger sur le pourquoi! Si ce n’est que pour en tirer profit sans contrepartie, ce n’est pas acceptable. Perso, je vis au Maroc et j’y paie (largement) mes impôts…