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Bénin: Décès de deux policiers dans une attaque

Photo DR

Un groupe armé non identifié a attaqué une équipe de polices sur la route inter-état Cotonou Malanville à Bangou, arrondissement de Guéné dans la commune de Malanville. L’information a en effet été rapportée ce jeudi 19 septembre 2024 par la radio Sota FM. Selon ce média local, des échanges de tirs auraient été enregistrés entre les éléments de la sécurité et les assaillants. Le bilan fait état de deux morts et d’un blessé dans les rangs des Forces de défense et de sécurité toujours selon le média.

Des témoignages recueillis sur le terrain par Sota Fm, on retient que la situation se serait produite au petit matin de ce jeudi. Pour l’heure, aucune réaction officielle n’a tout de même été enregistrée. Le constat sur le terrain est que la circulation sur la route inter-état Cotonou Malanville est bloquée pour un moment. S’agit-il d’un simple braquage ou d’un acte terroriste ? Bien malin qui pourrait répondre par l’affirmative à cette interrogation.

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Rappelons qu’il y a quelques jours, dans l’arrondissement de Kompa, commune de Karimama dans le département de l’Alibori, une ambuscade tendue par les terroristes a coûté la vie à deux policiers béninois. Les deux policiers tués étaient en patrouille visite dans la zone. Cette mission consiste pour les Forces de défense et de sécurité de s’enquérir des difficultés sécuritaires des populations riveraines. 

Une réponse

  1. Avatar de Napoléon
    Napoléon

    Plus le temps avance plus la population se rendra compte de la lourde responsabilité qui est celle de ce régime. C’est à présent clair que ce régime est de connivence avec l’armée française pour livrer chaque jour notre population et nos forces de l’ordre aux massacres des terroristes. Les terroristes recrutés, financés et encadrés par la France et ses alliés occidentaux.
    Car la question doit être posée et Talon et son gouvernement doit répondre à notre peuple : Comment se fait-il que l’armée française prétende instruire et encadrer nos militaires alors que la France et ses alliés refusent toujours par principe de vendre des armes létales aux États africains.
    Nos soldats, nos agents de police vont régulièrement en patrouille parfois les mains nues, alors que les terroristes sont armés avec les armes les plus sophistiquées, les plus dangereuses ?
    À quoi cela rime-t-il quand de prime à bord le rapport de force est si désavantageux pour nous, et que l’on parle de nous aider à lutte contre le terrorisme ?
    Il ne sert plus à rien de maintenir cachée cette forfaiture. C’est le moment de la dénoncer haut et fort. Afin que tout le monde entier comprenne cette entreprise des terroristes imposés imposés aux États de l’AES qui finit maintenant de gagner les pays côtiers. Il est l’heure de redresser les esprits et les consciences à ce sujet.

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