L’Algérie affiche de grandes ambitions pour son secteur de la pêche et vise à doubler sa production halieutique d’ici à 2030. Pour y parvenir, le gouvernement mise sur une stratégie combinant investissements locaux et partenariats internationaux. Parmi les initiatives phares, la coopération avec la Nouvelle-Zélande occupe une place centrale.
Le ministère de la Pêche algérien a récemment organisé une rencontre avec des experts néo-zélandais pour explorer des opportunités de collaboration. Les discussions ont abordé trois axes prioritaires, à savoir la formation des professionnels de la pêche et de l’aquaculture, le soutien aux coopératives locales et l’organisation de la filière.
Un volet scientifique a également été mis en avant, avec l’objectif de développer des pratiques de pêche durables. Le Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l’aquaculture (CNRDPA) prévoit de collaborer avec des institutions néo-zélandaises pour innover dans ce domaine crucial.
Grâce à ce partenariat stratégique, l’Algérie espère améliorer ses compétences locales, moderniser ses infrastructures et consolider sa position dans l’économie bleue. Un projet qui promet de dynamiser la filière tout en contribuant à la préservation des ressources marines.
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