Aviation: nouvel incident grave après le crash en Corée du Sud

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Le mois de décembre 2024 continue d’être particulièrement difficile pour le secteur aérien avec un nouvel incident majeur survenu en Norvège. Cet événement s’ajoute à une série d’accidents récents, notamment les crashs au Kazakhstan et en Corée du Sud, ainsi qu’une catastrophe évitée de justesse à Halifax.

L’incident implique un Boeing 737-800 de la compagnie KLM qui a dû effectuer un atterrissage d’urgence à l’aéroport de Sandefjord, en Norvège. L’appareil, qui reliait Oslo à Amsterdam, transportait 176 passagers et 6 membres d’équipage. Une nouvelle qui n’est pas sans rappeler les nombreuses annonces récemment survenues concernant divers incidents aériens à travers le monde.

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Incident technique et atterrissage forcé

Peu après le décollage d’Oslo, l’équipage a entendu un « bruit assourdissant« , signalant un dysfonctionnement du système hydraulique. Cette anomalie technique a contraint les pilotes à dérouter l’appareil vers l’aéroport le plus proche pour un atterrissage d’urgence. Lors de la manœuvre, l’avion est sorti de la piste, terminant sa course dans l’herbe à faible vitesse.

Des images de l’incident, largement relayées sur les réseaux sociaux, montrent l’avion immobilisé sur le terrain herbeux et l’évacuation des passagers. Heureusement, aucun blessé n’est à déplorer parmi les occupants, qui ont tous bénéficié d’un accompagnement après l’incident. Des images qui laissent pantois et qui suscitent forcément l’inquiétude.

Préoccupations sur la sécurité aérienne

Cet événement soulève de nouvelles questions sur la sécurité aérienne, particulièrement en cette fin d’année 2024 marquée par plusieurs incidents graves. Il met également en lumière l’importance des procédures d’urgence et de la formation des équipages, dont la réaction rapide a permis d’éviter des conséquences plus dramatiques.

Sur les réseaux sociaux, les images de l’appareil ont été diffusées. Une fin d’année compliquée donc, pour le secteur de l’aérien, qui se serait bien passé de cette mauvaise presse… À commencer par Boeing, dont les déboires continuent de s’enchaîner, interrogeant sur la capacité de l’avionneur américain à rebondir.

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