Le gouvernement béninois a adopté, lors du dernier conseil des ministres, un décret portant sur l’organisation du travail des personnes détenues. La décision s’inscrit dans le cadre de la mise en application de l’obligation de travail prévue par le Code de procédure pénale en vigueur au Bénin. Selon le compte rendu du conseil des ministres, le décret « vise à traduire dans la réalité, la vocation corrective de l’emprisonnement ». L’objectif est de créer, au sein des établissements pénitentiaires, des opportunités permettant aux détenus de s’engager dans des activités de production de biens et de services tout en accédant à des formations adaptées.
Ce dispositif, en conformité avec les normes internationales, s’appuie sur l’idée que l’emprisonnement doit aller au-delà de la simple privation de liberté pour devenir un outil de réhabilitation et de réinsertion.
Les détails du décret
Le décret adopté fixe les conditions et modalités précises du travail pénitentiaire. Il encadre :
- Les critères d’accès au travail pour les détenus ;
- Les types d’activités pouvant être exercées ;
- Les modalités d’exécution et de rémunération des tâches accomplies ;
- Les droits et obligations des détenus travailleurs ;
- Les responsabilités des entités agréées pour organiser ces activités, ainsi que les partenariats et modes de financement associés.
Avec ces dispositions, le gouvernement cherche à instaurer un cadre structuré pour le travail en prison, visant à réduire l’oisiveté des détenus et à renforcer leur employabilité après leur libération.
Un outil contre la récidive
Dans le communiqué officiel, l’exécutif insiste sur les bienfaits du travail pénitentiaire. « Les expériences observées prouvent à suffisance que les aptitudes acquises en exerçant ces travaux constituent le fondement d’une réinsertion socio-professionnelle réussie », peut-on lire. Outre l’acquisition de compétences utiles, la rémunération prévue pour les détenus devrait également leur permettre de subvenir à leurs besoins essentiels. Le gouvernement espère ainsi créer les conditions d’une réintégration harmonieuse dans la société, éloignant les anciens détenus de la tentation de récidive. (Rejoignez la famille des abonnés de la chaîne WhatsApp de La Nouvelle Tribune en cliquant sur le lien https://whatsapp.com/channel/0029VaCgIOFL2ATyQ6GSS91x)




Quelle proportion de detenus sont la bas sans jugement ?
Quelle reinsertion pour celui qui n’a pas commis de crime prouve?
Les conditions dans ces prisons sont abysimales…Dans quelles conditions veut on faire travailler des gens qui sont parques comme des animaux dans des cellules ou on dort a tour de role debout ?
Vous allez tous voir la grandeur de dieu..se manifester
Kim signe ce décret..pour lui même
Futur bagnard..il va produire des légumes.. pour alimenter nos marchés..
gboma.. aubergine.. pomme de terre.. piment..le tout..made in Bénin.
Ce gouvernement est une honte pour la nation. Comment peut-on condamner des enfants pour des fautes mineurs à 7ans d’emprisonnement ferme, alors que les mouvanciers sont condamnés à 12mois pour des crimes graves (cas de kidnapping du frère hounvi par exemple)
2026 n’est pas loin,nous sommes à mourir s’il le faut pour chasser ce gouvernement sans cœur guidé par la France. Nous voulons désormais un président capable de prendre ces décisions sans recours à la France
Exemple issu du Burkina Faso.
Trouver du travail à ceux qui sont au-dehors d’abord ensuite pensé au détenu la plupart d’entre eux ont déjà un diplôme
Il y a déjà assez du boulot pour ceux qui sont en liberté, à moins qu’ils ne veulent pas travailler. Il suffit de circuler à travers le pays uqi est tout entier en chantier ☺️
Recherche de main-d’œuvre à bas prix pour ses usines de coton et à Glo-djigbé
Et pourtant le travail en prison pourrait lutter contre le grand banditisme.
Ce décret..il l écrit pour lui-même
Dieu est grand