Donald Trump a intensifié ses critiques envers le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le qualifiant de « dictateur sans élections » sur son réseau social Truth Social. Cette accusation intervient dans un contexte délicat, alors que l’Ukraine fait face à une offensive russe depuis février 2022. Le mandat de Zelensky, qui devait expirer en mai 2024, se trouve prolongé par ces circonstances, tandis que des millions d’Ukrainiens ont dû fuir leur pays.
Une guerre de mots entre les deux dirigeants
La réponse de Zelensky ne s’est pas fait attendre, accusant Trump de baigner dans « un espace de désinformation russe« . L’ancien président américain a riposté en minimisant le parcours de Zelensky, le décrivant comme « un comédien au succès modeste » qui aurait convaincu les États-Unis de dépenser 350 milliards de dollars dans une guerre « qui ne pouvait pas être gagnée« . Trump va jusqu’à affirmer, contre toute attente, que l’Ukraine aurait déclenché le conflit avec la Russie, une déclaration qui ne repose sur aucun fait avéré.
Des négociations russo-américaines sans l’Ukraine
Les tensions entre Trump et Zelensky surviennent alors que les diplomaties russe et américaine multiplient les contacts. Un entretien téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump le 12 février, qualifié de « constructif et bienveillant » par le Kremlin, a été suivi de négociations à Riyad entre les délégations des deux pays. Ces discussions, qui ont duré plus de quatre heures, ont notamment porté sur un possible rapprochement des positions russo-américaines. Le département d’État américain a confirmé que Sergueï Lavrov et Marco Rubio se sont entendus pour établir des groupes de négociation sur les questions d’intérêt commun, laissant l’Ukraine en marge de ces pourparlers qui concernent pourtant directement son avenir.




Le couple USA/E.U a fait la démonstration d’un alignement parfait pour condamner les actes condamnables de Hamas du 07/10, et sur le droit de défense inconditionnel donner à l’IDF pour exterminer la population civil de Gaza.
Une élection après, un désaccord total sur la résolution du conflit Russo-Ukrainien et un rétropédalage de l’E.U pour obtenir un siège à la table de négociation.
Il est inquiétant de savoir que depuis les accords de Dayton en 1995, nous sommes sorti du cadre légal de l’action de l’ONU, dans ses missions de maintien de la paix, la sécurité internationales, protection des droits de l’homme, fourniture de l’aide humanitaire et la promotion du développement durable, évincée par l’Alliance Atlantique OTAN ou les USA.
La seule règle valable aujourd’hui est : ‘Si vis pacem, para bellum’ ou « Si tu veux la paix, prépare la guerre »
Exactement.
1991, les USA décrètent avoir gagné la guerre froide (alors que c’est le communisme qui explose) et se proclament « GENDRAMES DU MONDE ». S’ensuivent les lois d’extraterritorialité et « l’ordre mondial basé sur des règles » et non plus basé sur le Droit International dont l’ONU était le garant !
On dirait que les européens ont trouvé plus fort qu’eux !!!
Dumb Trump » un « Sans âme » un « Anti-Christ » à la Maison-Blanche.
Quel culot!
Une arrogance aveugle de Dumb Trump, aller qualifier Zelensky de dictateur, c’est le comble des combles. S’il qualifie Zelensky de dictateur il est quoi lui « Dumb Trump »? un dictateur qui a poussé la démocratie américaine dans une poubelle en démantelant les agences et institutions fédérales.
Ben ouais .. au regard de sa constitution zélémachin est illégitime
Faut que ce soit Trump qui le dise !