L’ancien président béninois Nicéphore Soglo, qui a dirigé le Bénin de 1990 à 1996, était l’invité de Christophe Boisbouvier sur RFI ce lundi 10 mars. Cette intervention médiatique coïncide avec la publication de ses mémoires, intitulés Vers le « miracle béninois » : l’épreuve du pouvoir et de la démocratie, aux éditions L’Harmattan.
Lors de cette interview, l’un des sujets centraux abordés fut la dévaluation du franc CFA en 1994, une décision qui avait marqué la présidence de Nicéphore Soglo. L’ancien chef de l’État a rappelé le contexte difficile de l’époque, expliquant comment la France, sous l’impulsion de son Premier ministre Édouard Balladur, avait imposé un taux de dévaluation de 50 %. « C’est la France qui doit payer à la place des débiteurs africains. Et son Premier ministre dit : « Je ne paye pas ». Que voulez-vous qu’on fasse ? », a-t-il déclaré, soulignant le manque de marge de manœuvre des dirigeants africains face à cette décision.
Malgré la brutalité de cette mesure économique, Soglo a estimé qu’elle avait, à terme, bénéficié aux économies africaines, bien que de manière sélective. « Ceux qui ont pu survivre, parce que vraiment, ça a été violent, ont dû s’adapter et trouver eux-mêmes leurs propres solutions », a-t-il expliqué. Il a notamment mentionné le secteur du coton, où il a encouragé l’industrialisation en Afrique pour renforcer la résilience économique du continent.
Cette rétrospective historique s’inscrit dans le cadre plus large de la publication de ses mémoires, où Nicéphore Soglo revient sur ses années au pouvoir, les défis de la transition démocratique et les obstacles économiques auxquels il a dû faire face. À travers ce livre, l’ancien président partage son vécu et ses réflexions sur la gouvernance et la souveraineté africaine, offrant un témoignage précieux sur une période clé de l’histoire du Bénin. Ce lancement marque ainsi une étape clé dans l’histoire de l’entreprise, affirmant sa volonté de faire de la connectivité un moteur de transformation sociale et économique. (Rejoignez la famille des abonnés de la chaîne WhatsApp du journal La Nouvelle Tribune en cliquant sur le lien https://whatsapp.com/channel/0029VaCgIOFL2ATyQ6GSS91x)
JoelaFiotte alias Charles Pasqua dans ses délires.
Tu n’as pas besoin d’aller à Paris pour acheter le livre de Soglo. Quitter ta banlieue de paumés te coûtera cher le déplacement.
Pour info la F N A C te le livrera à domicile (si tu en as) contre 28,50 euros.
Oui!ta forte culture des WC français débouchés ou à déboucher est incontestable. Bravo!
Goloso alias Soglo tu es en mode pou din_din
On se voit à Porte de Versailles , chez moi le bourgeois
Le CFA est une vaste supercherie. Les pays africains se saignent pour respecter leur part du contrat, mais la France non. Elle ne fait qu’en profiter.
D’ailleurs, la France n’a plus les moyens de venir en aide aux pays africains, elle a ses propres problèmes. Cette coopération n’a plus sa raison d’être.
Sonagnon tu n’as jamais étudié l’économie et tu ne connais rien à l’économie monétaire.
En parlant ainsi du Cfa tu insultes nos anciens présidents , tu ne peux même pas atteindre en 2025 leurs talons
Tchin chin
On ne répond pas à un ignorant.
Amoureux du livre et de la lecture ce qui a un impact sur ma forte culture ; je ne manquerai point de me rendre à la librairie Gilbert Jeune à Paris pour m’offrir ce joyau qui retrace la vie politique de Hercule. Longue vie au patriarche. Santé 🙏
Toi, tu as une forte culture ? Les poules en rient. Tu reconnais l’œuvre inégalable du Président Soglo au Bénin mais tu te faits cependant l’apôtre infatigable de Talon qui a foutu toute la culture démocratique initiée par le Président Soglo au Bénin en l’air. Quelle mentalité sans tête ni queue ?
Toi Ola Obalongo quitte devant Joeleplombier, il va te perforer ton adogo de papi chou papy du foyer des paumés