Le Maroc affiche une volonté claire de renforcer sa présence dans le secteur des hydrocarbures. Après plusieurs désistements de compagnies étrangères, le pays souhaite revoir sa stratégie pour mieux valoriser son potentiel en pétrole et en gaz. Les récents retraits de Genel Energy, puis d’Energean, deux sociétés britanniques, ont mis en lumière certaines faiblesses dans l’approche actuelle de l’exploration.
Ces départs illustrent les difficultés rencontrées par les investisseurs dans un cadre jugé parfois peu adapté ou peu attractif. Conscient des enjeux, l’Office National des Hydrocarbures et des Mines (ONHYM) prévoit de lancer une nouvelle mission d’expertise.
D’après nos confrères de l’AgenceEcofin, cette mission, estimée à 2,5 millions de dirhams, aura pour but d’évaluer les campagnes déjà menées dans le pays. Il s’agit notamment d’identifier les zones les plus prometteuses afin de mieux cibler les efforts futurs. Les autorités souhaitent aussi améliorer les méthodes utilisées pour se rapprocher des standards internationaux, dans l’espoir d’attirer de nouveaux partenaires étrangers.
Cette réorientation stratégique n’arrive pas par hasard. Le Maroc, qui dépend encore fortement des importations énergétiques, voit dans les hydrocarbures une piste pour renforcer sa sécurité énergétique. En même temps, le développement de ce secteur pourrait créer des emplois qualifiés et générer des revenus supplémentaires.
Le pays peut compter sur une géologie encore peu explorée et sur des indices positifs relevés lors de précédentes campagnes. Toutefois, pour transformer ces atouts en succès concrets, il lui faudra convaincre les opérateurs que le jeu en vaut la chandelle. Cela passera par une plus grande transparence, une meilleure gestion des données, et une communication plus active avec les acteurs du secteur.




Il faut rappeler l’ambassadeur et rompre les relations avec les britanniques et interdire l’apprentissage de l’anglais dans tous les établissements scolaires primaire.universitaire et administration le plus tôt possible.
Pour punir les anglais pour leur reconnaissance du Sahara marocain.
toz et ré toz
250 000 dollars dans l oil and gaz et ça veut attirer qui ???
Le moindre projet sérieux nécessite 10 000 fois plus.
La vulgarité un rouage essentiel dans l’éducation dans le département régence.